Search results for: 'Esse arts + opinions. No. 110, Hiver 2024'

Dans ce numéro d'Entrevous no. 28, hériter se conjugue au présent en chanson, poésie, nouvelle, récit de voyage, conte et art visuel.

Ce numéro 114 d'Exit met de l'avant les poètes et poèmes finalistes du Prix Geneviève-Amyot 2024. Le Prix Geneviève-Amyot s'adresse à l'ensemble des poètes professionnel·les et amateur·rices francophones de toute nationalité.

Dans le numéro 171 de la revue Les Écrits propose une suite estrienne présentée par Anne Brigitte Renaud et France Mongeau. Ce numéro comprend également le texte de Marianne Goulet, la lauréate de l’édition 2024 du prix Jacques-Crête.

C’est à la citation «Le lit ne sera plus jamais blanc» (Choir, Rosalie Lavoie) que répondent les textes ce numéro 178 de la revue de création littéraire Mœbius. Ces mots ruisselant de nos gorges baignent nos horizons de rouge. Nous pressentons l’incendie : cela s’enflamme déjà sous nos paupières. Nos émotions s’embrasent. 

Dans Entrevous 27 (février 2025) : les 40 ans de la Société littéraire de Laval, les prix Entrevous 2024, le projet de médiation culturelle « IA et les 40 poètes », trois dossiers « Mémoire littéraire », ainsi que les poèmes et les proses lus au concert des Chambristes de l'OSL pour les 20 ans de la Fondation lavalloise des lettres.

C’est à la citation «Nous pouvons enfin laver nos blessures» (femme-rivière de Katherena Vermette, traduction de Rose Després) que répondent les textes ce numéro 179 de la revue de création littéraire Mœbius. 

Dans le numéro 182 de la revue de création littéraire Mœbius, des paroles lucides, des visions sensibles se déroulent, se tressent à nos imaginaires, donnent à voir une liberté possible, entière, faite de révolte, de nuit et de guérison.

Le numéro 174 de Les écrits se questionne : allons-nous disparaître ? Nos créations nous disent qu’il nous est encore possible de tenir malgré les menaces qui planent. Que par un ultime sursaut de l’imagination, au bord de la catastrophe, nous serons capables de vivre encore, de vivre en plus, de sur-vivre. 

Le numéro 192 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa transmission autant que dans sa résistance. Emmanuelle Riendeau, par exemple, retrace les « limites de l’extensibilité » dans les gestes du quotidien, jusqu’à ses crispations, embourbements et débordements. « La douleur a son savoir », reconnait malgré tout Luz Volckmann, et on peut compter sur la mémoire du ventre et de la peau pour accompagner nos rééducations.