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Estuaire a invité des poètes qui gravitent ou ont gravité autour du travail du sexe à écrire sur le thème des sexualités. Loin des anathèmes, des vérités uniques et des idées reçues, ces poèmes vont à l'encontre de cet héritage lourd et explorent ce qui lui échappent.

Avec ce centième numéro, la revue Exit fête ses 25 ans. Lisez 47 poètes qui ont souvent contribué à la revue, qui lui ont donné ses lettres de noblesse, influencé ses auteurs, marqués son lectorat.

La revue Les écrits propose un dossier sur l’homme de théâtre Jacques Crête, qui prête son nom au prix remis annuellement par la revue à un·e dramaturge de la relève.

Dans le numéro 170 de la revue Les Écrits, plongez dans le portfolio en hommage à l’artiste multidisciplinaire Betty Goodwin qui aurait elle aussi célébré son 100e anniversaire en 2023.

La revue Le Sabord vous invite, avec son second numéro d’un diptyque sur le nomadisme et la sédentarité, Ancrages, à interroger le choix de s’ancrer dans un espace plutôt qu’un autre. Auteurs·rices et artistes rendent compte des installations successives en des lieux nouveaux, des ramifications qui forent le sol.

Montréal s’incarne, dans ce numéro d’XYZ. La revue de la nouvelle, dans son futur et son passé, entre mémoires et fantasmes. Neuf auteurs, montréalais et non montréalais, ont ainsi relevé le défi de dévoiler une facette de leur Montréal imaginaire.

Le numéro 192 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa transmission autant que dans sa résistance. Emmanuelle Riendeau, par exemple, retrace les « limites de l’extensibilité » dans les gestes du quotidien, jusqu’à ses crispations, embourbements et débordements. « La douleur a son savoir », reconnait malgré tout Luz Volckmann, et on peut compter sur la mémoire du ventre et de la peau pour accompagner nos rééducations.

Sous le thème « Aires de repos », la revue Estuaire propose des poèmes comme des lieux où reprendre son souffle, des lieux d’où regarder vers ce qu’on ne sait pas encore, ailleurs, là où la vie est.

La revue Femmes de parole dédie son neuvième à Louise Blouin. Des poètes unissent leurs voix pour rendre hommage à cette enseignante au Cégep et co-directrice des Écrits des Forges. D'autres «passeuses de mots» comme l'était Louise Blouin sont présentées dans la section «Passerelle».

Avec son numéro « Rives et affluents », la revue Le Sabord, fondée en 1983 dans la ville portuaire de Trois-Rivières, renoue avec ses origines fluviales. Le numéro invite à se faire insulaire, à arpenter les berges et à franchir, construire des ponts entre territoires et univers.

Chez Exit, on veut Oser l’amitié autant dans sa représentation littéraire et poétique que dans son travail formel sur le poème. C’est par le biais d’une rencontre avec David Bowie, amitié affabulée par Nicholas Giguère que s’amorce la section Dialogue, dans une suite d’entretiens menée par Gérald Gaudet.

Ce numéro de la revue Les Écrits vous transporte dans une autre dimension. Le portfolio de l’artiste Irene F. Whittome n’a rien d’ordinaire : ses couleurs, son mouvement ouvrent la porte à l’imaginaire. Voyagez dans le passé, dans l’inconnu, et dans la fiction, bercés par la langue et les mots.

Inspirées par la musique, les nouvelles composant ce numéro de XYZ. La revue de la nouvelle réfèrent tantôt explicitement aux grands compositeurs tantôt plutôt à des courants, mais chaque fois ramènent la musique à la question du sens, comme si notre raison d’être se trouvait quelque part dans le son.

Le numéro 191 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui opèrent un raccord entre la sensorialité et les affects, entre la déception et l’espoir, entre ce qui existe déjà et ce que l’on imagine. L’artiste en résidence est Marigold Santos.

 

En ouverture de ce numéro d’Entrevous,« Le Marché des mots » enchaine huit récits de vie autobiographiques et autofictionnels, neuf textes sollicités par les Artistes pour la Paix, une nouvelle d’un écrivain d’ici qui visite un ailleurs et une suite poétique d’un écrivain d’ailleurs qui se balade ici.

Ce numéro d'Estuaire a pour thème « Géographies », soit « ce qui se trouve sous nos pieds. Ou encore à ce que nous rêvons qui y soit ». Avec des poèmes de Martin Bélanger, Hector Ruiz et Mimi Haddam, entre autres, ainsi que des critiques de plusieurs recueils récents.

« Les corps qui dansent sont toujours les corps de ma nuit », cent-soixante-troisième numéro de la revue Mœbius a été dirigé par Nicholas Dawson et Gabrielle Giasson-Dulude. Les textes qui composent ce numéro exposent la fragilité avec courage. Il est question de tension entre jours et nuits, d’une expérience...

Le numéro 12 de la revue Femmes de parole salue le centenaire du Cercle des Fermières de Sainte-Rose à Laval, en rendant hommage aux femmes qui soignent le tissu du monde avec un texte hommage à la mère, la grand-mère, la sœur ou l’amie qui leur a offert un objet fait par elle à la main.

Les textes rassemblés dans ce numéro 173 de Les Écrits s’attardent à différents territoires du corps, l’invitant à penser la réalité autrement. On peut y lire la seconde contribution de Monique Proulx, notre écrivaine en résidence, suivie d’un bel entretien de Gérald Gaudet avec Larry Tremblay qui traite du corps et de la fureur qui parfois s’empare de lui.    

Dans le numéro 112 d'Exit, retrouvez une sélection de textes de poètes qui écrivent en marge du système, une manière de Polaroïd de l'underground poétique actuel.

Les poèmes du numéro 194 de la revue Estuaire explorent la thématique : « Ossature ». L’ossature est ce qui tient tout en un corps (une forme, une structure).

Le numéro 11 de la revue Femmes de parole est une édition spéciale qui salue les vingt ans de la Fondation lavalloise des lettres. 

Dans cette édition d'Exit, sept poètes devant la fuite. « [C]e numéro […] survole les déflagrations comme il construit les gammes d’un art de la fuite qui s’impose comme un geste de survie. » (Stéphane Despatie)

Cette édition de la revue Exit propose un dossier, Trop tôt ou trop tard : La violence en héritage, préparé par Gérald Gaudet qui aborde l’univers poétique de Corinne Chevarier et François Guerrette sous l’angle de la violence.

La vie et la mort se côtoient dans le numéro d’automne de la revue Les écrits, qui porte nettement la marque de notre temps, celui du confinement, de la violence des crises, du débordement des mots et des choses.

Ce numéro des Écrits s’ouvre avec un conte de Laurance Ouellet Tremblay, l’écrivaine en résidence, qui allie art et nature sauvage d’une façon inattendue. Les œuvres de Renée Lavaillante illustrent le numéro, et Dominique Chalifoux signe le portfolio consacré à l’artiste.

Au sommaire du quinzième numéro de la revue Entrevous se poursuit la publication de poèmes centons créés dans le cadre d’un projet de médiation culturelle qui revisite les revues et les livres que la Société littéraire de Laval a édités en 35 ans.

Dans ce numéro d’Exit qui nous arrive avec le printemps, lisez pour la première fois dans les pages de la revue Edith Pineault et Alicia Borinsky dans une traduction de Chantal Ringuet. Puis, un dossier sur l’influence de Kerouac et du concept d’américanité.

La revue Entrevous propose dans ce numéro un menu littéraire varié. Dans un premier temps, les lauréats des prix Patrick Coppens et André Jacob 2022 sont dévoilés par les auteurs qui donnent leur nom au prix. S'en suivent plusieurs textes aux thématiques diverses.

Dans ce numéro de la revue Mœbius, porté par une citation de Marguerite Duras, les textes témoignent de ce « la force existe sans le soi qui s’excède, elle le précède peut-être », comme l’écrivent Martine Fidèle et Olivia Tapiero dans leur liminaire.

Ce numéro 172 de la revue Les écrits propose la première des trois contributions de l’écrivaine en résidence Monique Proulx. Il présente également les textes du «Laboratoire de l’écrivain.e», dirigé par France Mongeau, qui s’est attardé à «l’atelier comme langages et chaos». 

« Il y a l’eau qu’on boit, celle qui lave ou purifie, celle qu’on contemple et dont la traversée donne à rêver. » Dans ce numéro d’Estuaire, l’eau se retrouve sous diverses formes dans les textes poétiques, calme ou agitée, claire ou trouble, morte ou vive.

Dans ce numéro d’Exit, découvrez plusieurs poètes de la génération X. Ils n’ont pas demandé à porter le drapeau de leur génération, mais ils sont ici rassemblés car ce sont des modèles de persistance qui apportent beaucoup à leur communauté et au paysage littéraire.

Les algorithmes s’avèrent un piège pour l’humain parce qu’ils prétendent le libérer en prenant en charge ses désirs. C’est du moins l’angle d’approche commun du thème qui se dégage du présent numéro de XYZ. La revue de la nouvelle.

Dans cette édition de la revue Les écrits, retrouvez Laurance Ouellet Tremblay, la nouvelle écrivaine en résidence, qui livre le premier de trois textes. Le Laboratoire de l’écrivaine et de l’écrivain, dirigé par France Mongeau s’articule, lui, autour du thème « Lire : l’autre ? ».

Dans cette édition de la revue Les écrits, retrouvez Laurance Ouellet Tremblay, la nouvelle écrivaine en résidence, qui livre le premier de trois textes. Le Laboratoire de l’écrivaine et de l’écrivain, dirigé par France Mongeau s’articule, lui, autour du thème « Lire : l’autre ? ».

Cette édition estivale des Écrits débute avec un troisième et dernier conte de Laurance Ouellet Tremblay, l’écrivaine en résidence, qui s’intéresse à la tyrannie de l’enfance. Les œuvres de Stéphanie Morissette habillent le numéro, et Paule Mackrous signe le portfolio consacré à l’artiste

Points de suture, suturer : ce qui guérit après avoir été blessé. La revue Le Sabord, fil à la main, aborde le thème du soin. Auteurs·rices et artistes montrent comment l’on peut rapiécer la chair, panser ses entailles, témoignent de la poésie de la suture.

Les textes de ce numéro d’automne des Écrits, n’invitent pas à choisir entre deux perceptions. Peut-être s’agit-il en effet plutôt de frayer une troisième voix, celle de l’hésitation, justement, qui rendrait attentif à des manières encore inédites, encore à inventer, de l’habiter ? 

En traversant les poèmes de ce numéro d'Estuaire, vous ne penserez jamais « que la poésie était une fête», mais peut-être chercherez-vous « à nommer ce qui se passe quand les lumières s’allument après une trop longue soirée. On y est toujours mais on est aussi ailleurs. »

C’est l’espace ménager qu’on connaît, et les mots qui le mangent, cent-soixante-deuxième numéro de la revue Moebius a été dirigé par Clara Dupuis-Morency et Marc-André Cholette-Héroux. « La langue n’est plus domestique. Ce n’est pas une insurrection, mais une indiscipline : elle s’est lassée d’être comestible. [...]»

Le numéro « Révolte » de la revue Le Sabord comprend dix textes, dont celui gagnant du prix Clément-Marchand 2019, récompense qui célèbre le talent littéraire de la relève en Mauricie et au Centre-du-Québec. Des voix et des regards variés lancent l’appel aux barricades et au renversement.

« Dans l’ère qui nous gouverne, nous repoussons sans cesse les échéanciers de la vie pratique pendant que notre propre date de péremption, elle, stagne. » Ce numéro d'Exit s'inspire du temps. Lisez-y Madeleine Monette, Pedro López Adorno, Michel Pleau, Maria Grazia Calandrone, Daniel Leblanc-Poirier, Jean Perron et Guy Marchamps.

Au sommaire du quatorzième numéro de la revue Entrevous retrouvez : des poèmes surréalistes, créés par amalgame d’extraits de textes littéraires publiés dans la revue ; six créations qui explorent le thème « Ça va aller autrement » ; neuf nouvelles bandes dessinées en trois images par l’illustrateur Patrice Reytier et le poète philosophe Kenneth White, etc.

Dans le numéro estival de la revue Entrevous retrouvez onze textes qui complètent la sélection pour les Stations Poésie au Centre de la nature, une micronouvelle de Danielle Shelton inspirée d’un personnage de la série Le peuple de papier sablé, de l’artiste Suzanne St-Hilaire, un défi poétique de création croisée, un inédit de Patrick Coppens et des calembours de Diane Landry.

Le numéro 10 de la revue Femmes de parole jumelle la Bretagne et le Québec, on y retrouve en première partie les voix de désiroir de Mayra Bruneau Da Costa et Laurie Bernard, suivies par une longue chaîne de femmes qui se répondent, d’un bout à l’autre de la Bretagne, en une passerelle ininterrompue comme un long fil traversant la trame d’un métier à tisser.