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 Ce coffret contient une sélection de 4 revues culturelles québécoises consacrées à la littérature. Retrouvez un exemplaire des revues Estuaire, Le Sabord, Lurelu et XYZ. La revue de la nouvelle. 

Ce coffret contient une sélection de 5 revues culturelles québécoises consacrées à la littérature. Retrouvez un exemplaire des revues Femmes de parole, Les écrits, Lettres québécoises, Mœbius et Spirale.

Le numéro 127 du Sabord porte sur la « sororité ». Les créateur·rice·s de ce numéro ont tenté de répondre à la question, « Qu’est-ce que des sœurs ? ».

Dans ce numéro d’Exit, trois textes où « ça court vers la lumière, ça tente de l’écrire ou ça roule directement dedans. » Puis, quinze poètes s’inspirent « de la méthode de la paranoïa-critique créée par Salvador Dalí.

Les nouvellistes de la revue XYZ laissent libre cours à la rage et osent nommer les actes indicibles qu’on voudrait poser en réaction aux tentatives d’enfermement et à la violence subie dans le numéro 156, « Hors réserve ».

Le numéro 10 de la revue Femmes de parole jumelle la Bretagne et le Québec, on y retrouve en première partie les voix de désiroir de Mayra Bruneau Da Costa et Laurie Bernard, suivies par une longue chaîne de femmes qui se répondent, d’un bout à l’autre de la Bretagne, en une passerelle ininterrompue comme un long fil traversant la trame d’un métier à tisser. 

Le numéro 160 de la revue XYZ porte sur les écrivaines mexicaines.

« L’écriture peut être un refuge, une cache, un lieu de dévoilement ou de révélation, un mégaphone créé par l’ur

D’abord, les codirectrices littéraires terminent le projet 35 chandelles pour un bal surréaliste avec des vers inédits. Puis, sous le thème « En liberté surveillée » lisez un récit et un poème-centon écrits dans un contexte de médiation culturelle, et une micronouvelle surréaliste de l’écrivain en résidence.

On les adule, on les exècre : les chats règnent en maître dans le numéro d’automne d’XYZ. Cette édition est aussi l’occasion d’introduire une nouvelle rubrique, « Revenance » visant à réinvestir, par une nouvelle traduction ou une réécriture, une nouvelle canonique.

Les poèmes du numéro 194 de la revue Estuaire explorent la thématique : « Ossature ». L’ossature est ce qui tient tout en un corps (une forme, une structure).

Cette livraison d'Entrevous propose des haïkus, un amalgame aquarelle-poésie et un bestiaire médiéval poétisé. Plus encore : des « comic strips » poético-philosophiques et une rencontre avec Hubert Lenoir et Noémie D. Leclerc.

Ce numéro 24 de la revue Entrevous propose un liminaire de Danielle Shelton sur l'utilité de la culture, le dévoilement des lauréats des prix Entrevous 2023, une poétisation de l'horticulture, un atelier de caviardage poétique d'un essai sur le racisme, des contributions littéraires libres, des citations oxymoriques, un hommage au poète et artiste Patrick Coppens, une présentation des invité·es des cafés littéraires de l'Assemblement et de l'exposition itinérante «cercles de fée et ronds de sorcière». Ce numéro renferme bien plus encore !

Dans ce numéro d'Entrevous, découvrez des conversations indiscrètes captées au coeur d'un laboratoire de création littéraire, des oeuvres sur thème des chaussures et des lettres, une rencontre entre une poète critique d’art et une artiste en arts visuels, et plus encore !

Dans ce numéro de la revue Entrevous, Patrick Coppens transpose ses miniatures en fresque. Suit une expérience d’inspiration à la chaine : Leslie Piché offre un poème à Suzanne St-Hilaire, auquel elle répond par une construction de matériaux mixtes, puis le tout est interprété par Danielle Shelton.

En ouverture de ce numéro d’Entrevous,« Le Marché des mots » enchaine huit récits de vie autobiographiques et autofictionnels, neuf textes sollicités par les Artistes pour la Paix, une nouvelle d’un écrivain d’ici qui visite un ailleurs et une suite poétique d’un écrivain d’ailleurs qui se balade ici.

C’est sous un nouvel habillage graphique que se présente Les écrits. Les œuvres de Marie-Claude Pendleton accompagnent les textes. Au sommaire, un texte d’Évelyne de la Chenelière, autrice en résidence, un essai de Gérard Cartier et quatre récits par Laurence Nobécourt, Patrick Lane, Guillaume Asselin et Jean-Paul Goux.

Ce numéro des Écrits revêt un caractère exceptionnel, puisqu’il accueille un portfolio réalisé par Les Impatients, présenté par Michel Tremblay. Par le biais de l’expression artistique, l’organisme vient en aide aux personnes ayant des problèmes de santé mentale et propose un premier carnet de Michael Delisle, nouvel écrivain en résidence.

Le numéro printanier d’XYZ vous invite au cœur d’îles réelles ou métaphoriques, où l’on se dépose en espérant se reposer, se découvrir, traverser une épreuve initiatique ou se réconcilier avec sa mémoire. Le numéro se présente comme un archipel de fictions, indépendantes, mais reliées par une écriture singulièrement poétique.

Le numéro printanier de XYZ. La revue de la nouvelle réitère une préférence marquée pour la brièveté en présentantà nouveau un numéro dédié aux nouvelles d’une seule page. Portée et nourrie comme par les éditions passées par la contrainte de la concision, cette nouvelle mouture ouvre un monde de possibles.

Dans le numéro 112 d'Exit, retrouvez une sélection de textes de poètes qui écrivent en marge du système, une manière de Polaroïd de l'underground poétique actuel.

Ce numéro 161 de la revue XYZ comprend un dossier gravitant autour du thème de la trahison et du reconcement à un idéal.

Dans le numéro estival de la revue Entrevous retrouvez onze textes qui complètent la sélection pour les Stations Poésie au Centre de la nature, une micronouvelle de Danielle Shelton inspirée d’un personnage de la série Le peuple de papier sablé, de l’artiste Suzanne St-Hilaire, un défi poétique de création croisée, un inédit de Patrick Coppens et des calembours de Diane Landry.

Mœbius propose un numéro spécial rendant hommage à sa rubrique « Lettre à un écrivain·e vivant·e ». 15 auteur·ices ont répondu à l’invitation à la correspondance littéraire lancée par Alex Noël et Nicholas Dawson, à la direction du numéro.

Les auteurs·rices de ce numéro d' XYZ écrivent sur le thème GPS. Dans un monde en perte de repères, il est tentant de s’en remettre à un appareil pouvant indiquer exactement le chemin à prendre

La revue Estuaire effectue une incursion dans le monde du sport, un terrain où la poésie ne s'aventure pas si facilement. « Serait-ce à cause de cette idée préconçue d’une opposition cardinale entre intellectuel.le et athlète, entre poète et jock ? »

Cet été, dans la revue d’arts littéraires Entrevous, une formation sur le haïku lors de la Journée mondiale de la poésie 2022 donne naissance à des jeux de haïkuvertures ! Lisez-en un échantillon de 31, dont neuf en images, créés par 17 joueurs.

Dans ce numéro d’Exit qui nous arrive avec le printemps, lisez pour la première fois dans les pages de la revue Edith Pineault et Alicia Borinsky dans une traduction de Chantal Ringuet. Puis, un dossier sur l’influence de Kerouac et du concept d’américanité.

Dans ce numéro de la revue Exit, Michael Delisle, Nicole Raziya Fong et Kaie Kellough, « […] invitent à des propositions formelles précises, où le “petit”, le singulier ou le personnel nous happent, nous orientent comme si nous passions par une blessure, une entaille ».

La revue Entrevous propose dans ce numéro un menu littéraire varié. Dans un premier temps, les lauréats des prix Patrick Coppens et André Jacob 2022 sont dévoilés par les auteurs qui donnent leur nom au prix. S'en suivent plusieurs textes aux thématiques diverses.

En traversant les poèmes de ce numéro d'Estuaire, vous ne penserez jamais « que la poésie était une fête», mais peut-être chercherez-vous « à nommer ce qui se passe quand les lumières s’allument après une trop longue soirée. On y est toujours mais on est aussi ailleurs. »

C’est l’espace ménager qu’on connaît, et les mots qui le mangent, cent-soixante-deuxième numéro de la revue Moebius a été dirigé par Clara Dupuis-Morency et Marc-André Cholette-Héroux. « La langue n’est plus domestique. Ce n’est pas une insurrection, mais une indiscipline : elle s’est lassée d’être comestible. [...]»

Le numéro 118 de la revue Exit propose un « Polaroid de Carthage ».

Le numéro 12 de la revue Femmes de parole salue le centenaire du Cercle des Fermières de Sainte-Rose à Laval, en rendant hommage aux femmes qui soignent le tissu du monde avec un texte hommage à la mère, la grand-mère, la sœur ou l’amie qui leur a offert un objet fait par elle à la main.

Le numéro 158 de la revue XYZ s'intitule « Climat : souffler le chaud et le froid ». Devant la dureté du réel, on se prend alors à rêver à d’autres univers possibles, où l’équilibre délicat du cycle de la vie ne serait pas menacé, et l’on dépose une poignée de semences au creux des mains des enfants, comme une promesse douce-amère que quelque chose nous survivra.

Ce numéro 25 de la revue Entrevous propose un liminaire de Danielle Shelton sur la belle sonorité des mots anciens, l’éditrice Ginette Trépanier associe vingt poèmes prônant la paix et le vivre-ensemble à des œuvres textiles de la plasticienne française Vio, onze poètes interprètent un dessin de la série Mythologies de l’artiste Stéphan Daigle, des néo-Québécoises écoutent et partagent des poèmes de José Acquelin pour le Mois national de la poésie. Ce numéro renferme bien plus encore !

Le numéro 11 de la revue Femmes de parole est une édition spéciale qui salue les vingt ans de la Fondation lavalloise des lettres. 

Le numéro 111 de la revue Exit présente la relève actuelle en poésie acadienne dans un dossier préparé par Sébastien Bérubé. Retrouvez les textes de 19 poètes.

La revue Les écrits propose un dossier sur l’homme de théâtre Jacques Crête, qui prête son nom au prix remis annuellement par la revue à un·e dramaturge de la relève.

C’est à la citation «Les yeux lumineux, prompts à la riposte» (Une si longue lettre de Mariama Bâ) que répondent les textes ce numéro 180 de la revue de création littéraire Mœbius. 

Le numéro 9 de la revue Entrevous propose un laboratoire de créativité « Troc-paroles » où les nombreux participants ont joué à découvrir par caviardage des poèmes cachés dans les pages du roman « Le Survenant ».

Dans cette édition d'Exit, sept poètes devant la fuite. « [C]e numéro […] survole les déflagrations comme il construit les gammes d’un art de la fuite qui s’impose comme un geste de survie. » (Stéphane Despatie)

« [O]n peut dire que la poésie est un curieux mélange de précision et de chaos. » (Stéphane Despatie) Dans cette édition d'Exit, retrouvez Nicholas Giguère, Odelin Salmeron, Éric Roberge, Dominique Lauzon, Serge Lamothe et Pierre Ouellet.

Dans le numéro 157, «Bibliophilies et autres pathologies», de la revue XYZ, l’amour des livres se décline en une infinie variété et s’adresse à la fois aux sens et à l’esprit.

Une revue a toujours à voir avec des communautés mises en tension. En ces temps cruels, comment s’étonner que la question du lien social soit au cœur des textes de ce numéro des Écrits ?

En ouverture de ce numéro de la revue Entrevous, lisez une réflexion sur la synchronicité dans le processus de création. Puis Patrick Coppens et André Jacob dévoilent et commentent les textes des lauréat·es des prix Entrevous 2021.

Cette édition de la revue Exit propose un dossier, Trop tôt ou trop tard : La violence en héritage, préparé par Gérald Gaudet qui aborde l’univers poétique de Corinne Chevarier et François Guerrette sous l’angle de la violence.

« Déposer ma langue sur un crochet, crier enfin : “je suis rentrée à la maison!” » scande le numéro hivernal de la revue Mœbius. « Le crochet c’est naturel pour le manteau, ça lui va. Tandis que la langue… [...] »

Ce numéro estival de Brins d’éternité explore la question de l'originalité en littérature. Face au défi d’avoir « déjà tout dit », une réflexion fascinante s’impose : est-ce la nouveauté du récit qui compte, ou l'art de le raconter ?

Dans le numéro 182 de la revue de création littéraire Mœbius, des paroles lucides, des visions sensibles se déroulent, se tressent à nos imaginaires, donnent à voir une liberté possible, entière, faite de révolte, de nuit et de guérison.

Dans cette livraison d'Estuaire, des poètes s'écartent de la tristesse et de la mélancolie, si souvent liées au geste poétique, et prennent le parti d'écrire sur la joie. Rarement un sentiment – et cet exercice – allaient-ils se révéler autant nécessaire.

Le numéro 191 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui opèrent un raccord entre la sensorialité et les affects, entre la déception et l’espoir, entre ce qui existe déjà et ce que l’on imagine. L’artiste en résidence est Marigold Santos.

 

Dans le numéro « mais le corps se méfiant de lui-même comme un leurre » de Mœbius, des voix fortes et singulières se côtoient pour interroger le corps en tant que site sensible à partir duquel se dessine notre rapport au monde.

Dans le numéro 171 de la revue Les Écrits propose une suite estrienne présentée par Anne Brigitte Renaud et France Mongeau. Ce numéro comprend également le texte de Marianne Goulet, la lauréate de l’édition 2024 du prix Jacques-Crête.

Ce numéro des Écrits s’ouvre avec un conte de Laurance Ouellet Tremblay, l’écrivaine en résidence, qui allie art et nature sauvage d’une façon inattendue. Les œuvres de Renée Lavaillante illustrent le numéro, et Dominique Chalifoux signe le portfolio consacré à l’artiste.

Mais il ne suffit pas de se tenir debout sur l'autre rive du fle uve, plus récent numéro de la revue Mœbius, a été dirigé par Nicholas Dawson et Karine Rosso. Retrouvez-y exceptionnellement deux traductions de l'espagnol et une multitude d'autres textes.

Ce numéro de la revue Mœbius investit l’espace paradoxal de la pliure. Alors que certain·es auteur·trices montrent la corrosion du monde, d’autres y exercent une pression ou encore renversent le paradigme et témoignent de ces moments où le monde voudrait voir l’individu fléchir.

Dans ce numéro de la revue Mœbius, porté par une citation de Marguerite Duras, les textes témoignent de ce « la force existe sans le soi qui s’excède, elle le précède peut-être », comme l’écrivent Martine Fidèle et Olivia Tapiero dans leur liminaire.

Les algorithmes s’avèrent un piège pour l’humain parce qu’ils prétendent le libérer en prenant en charge ses désirs. C’est du moins l’angle d’approche commun du thème qui se dégage du présent numéro de XYZ. La revue de la nouvelle.

Le numéro 159 de la revue XYZ s'intitule «Madame avec ou sans Monsieur».  Madame s’est mariée jeune, madame est veuve, madame fait partie de la haute, madame vit seule, madame est servie ou madame se prend pour une autre…

Montréal s’incarne, dans ce numéro d’XYZ. La revue de la nouvelle, dans son futur et son passé, entre mémoires et fantasmes. Neuf auteurs, montréalais et non montréalais, ont ainsi relevé le défi de dévoiler une facette de leur Montréal imaginaire.

Ce numéro d’XYZ. La revue de la nouvelle propose des fictions autour du thème confinement et avançait, conscient, sur la ligne fragile du morne quotidien : si la vie confinée apparaissait dystopique, sa narration ne prendrait-elle pas une forme ennuyeuse ?

Cette édition estivale des Écrits débute avec un troisième et dernier conte de Laurance Ouellet Tremblay, l’écrivaine en résidence, qui s’intéresse à la tyrannie de l’enfance. Les œuvres de Stéphanie Morissette habillent le numéro, et Paule Mackrous signe le portfolio consacré à l’artiste

Ce numéro de Mœbius propose des textes de fiction et de poésie autour de la citation-thème « Raconter l'histoire jusqu'au bout est un acte d'amour » tirée de Deux ou trois choses dont je suis sûre de Dorothy Allison (traduite de l'anglais par Noémie Grunenwald).

Terme polysémique, « cellule » provient de « cella », chambre, et de « ula », petit. Est-ce une pièce minuscule dans laquelle se capitonner du monde ? Dans cette édition de la revue Le Sabord, onze auteurs·rices se réunissent pour explorer cette double entité cellulaire, entre biologique et carcéral.

La revue Femmes de parole lance un huitième numéro sous le thème de la fulgurance. Fulgurance du talent précoce de Marie Uguay, emportée trop tôt par la maladie. Ce numéro lui rend hommage. Fulgurance de la poésie avec les poèmes de six femmes poètes.

Les textes de ce numéro d’automne des Écrits, n’invitent pas à choisir entre deux perceptions. Peut-être s’agit-il en effet plutôt de frayer une troisième voix, celle de l’hésitation, justement, qui rendrait attentif à des manières encore inédites, encore à inventer, de l’habiter ? 

« Cucu et casse-gueule, l’union de la littérature et des fleurs bleues ne fait pas bon ménage ; qu’à cela ne tienne, voilà un défi que le numéro 142 de XYZ. La revue de la nouvelle de la nouvelle relève avec toupet ».

« Rien n’est simple. Écrire un poème, c’est confier au langage quelque chose qu’il donnera en retour à quelqu’un d’autre. » Dans cette livraison d'Estuaire, lisez les oeuvres d'Hugo Beauchemin-Lachapelle, Marise Belletête, Bélinda Bélice, Virginie Chaloux-Gendron, Alycia Dufour, Jean-Sébastien Huot, Anthony Lacroix ou encore Roseline Lambert.

Sur le thème « Enchantement », ce numéro de la revue Le Sabord paraît en ces temps de crise où le divertissement se révèle une soupape salutaire, où nous nous surprenons plus qu’à l’habitude à rêver le retour des figures des grands récits ou d’un quelconque deus ex machina.

Le numéro printanier de XYZ. La revue de la nouvelle propose un ensemble de textes explorant les multiples facettes de la vulnérabilité. La section « Thème libre », elle, présente des textes de Catherine Browder, Gaëtan Brulotte, Esther Laforce, Jean-Sébastien Lemieux et Richard Savard.

L’édition hivernale d’XYZ. La revue de la nouvelle, pilotée par David Dorais, s’articule autour du thème de la dépression, mal du siècle s’il en est un. Cette vénérable mélancolie n’est pas étrangère, à la littérature et à l’art de la nouvelle en particulier.

Chez Exit, on veut Oser l’amitié autant dans sa représentation littéraire et poétique que dans son travail formel sur le poème. C’est par le biais d’une rencontre avec David Bowie, amitié affabulée par Nicholas Giguère que s’amorce la section Dialogue, dans une suite d’entretiens menée par Gérald Gaudet.

Ce numéro spécial de Femmes de parole donne la parole à 11 femmes poètes d'Ukraine vivant dans un pays en guerre, accompagnées par 11 poètes du Québec et membres du regroupement lavallois d’auteurs et d’artistes RAPPEL : Parole-Création. Chaque poème est présenté en français et en ukrainien.

Ce numéro de la revue Les écrits se décline en formes variées. Retrouvez l’autrice en résidence Évelyne De la Chenelière. Poursuivez en récits où l’on cherche une disparue, où l’on séjourne à St-John’s, où l’amour vit malgré la guerre, où l’on souhaite être transformée en langues.

Le 150e numéro de la revue Les écrits propose un parcours varié, alliant récits, poésie et réflexions littéraires. Lisez le second texte de l’écrivaine en résidence Evelyne de la Chenelière. Suivent l’arnaque, le mensonge, le deuil, la disparition, la peine et l’errance dans six récits à l’écriture évocatrice.

Ce numéro de la revue Les Écrits vous transporte dans une autre dimension. Le portfolio de l’artiste Irene F. Whittome n’a rien d’ordinaire : ses couleurs, son mouvement ouvrent la porte à l’imaginaire. Voyagez dans le passé, dans l’inconnu, et dans la fiction, bercés par la langue et les mots.

La revue Le Sabord vous invite, avec son second numéro d’un diptyque sur le nomadisme et la sédentarité, Ancrages, à interroger le choix de s’ancrer dans un espace plutôt qu’un autre. Auteurs·rices et artistes rendent compte des installations successives en des lieux nouveaux, des ramifications qui forent le sol.

Les auteurs·rices de ce numéro 155 de XYZ. La revue de la nouvelle, dirigée par Marie-Pier Lafontaine, écrivent sous le thème « Contre-attaque ». Il vient un jour où c’en est trop. Pour en finir avec la violence et les humiliations, la contre-attaque s’organise.

Le numéro printanier de la revue Mœbius , dirigé par Marc-André Cholette-Héroux et Olivia Tapiero vous propose des textes, en vers ou en prose, articulés autour d’une citation-thème de Vladimir Slepian  tirée de Fils de chien : « Écoutez ! Je serai votre chien, un bon chien, mieux que tout autre chien. »

« L'idée était ludique : jouer avec l'équilibre précaire, appeler un risque formel, confondre les fonctions des objets, inspirer de la confusion », écrivent le poète Baron Marc-André Lévesque et l'essayiste et poète Gabrielle Giasson-Dulude dans le liminaire d'une fourchette en équilibre dans tout ça, plus récent numéro de la revue Mœbius.

C’est sous le thème des feux d’artifices qu’éclate ce numéro de XYZ. La revue de la nouvelle ! Le feu d’artifice est préparé avec art et effets spéciaux, dans des agencements variés, réfléchis. Certains textes se rapprochent de cet art pour raconter un passage important de la vie.

Le numéro 174 de Les écrits se questionne : allons-nous disparaître ? Nos créations nous disent qu’il nous est encore possible de tenir malgré les menaces qui planent. Que par un ultime sursaut de l’imagination, au bord de la catastrophe, nous serons capables de vivre encore, de vivre en plus, de sur-vivre. 

Cette parution estivale des Écrits s’ouvre avec un dernier texte de Michael Delisle, écrivain en résidence. En essai, poésie, récit et théâtre, lisez les textes de Frédérique Bernier, Michaël Trahan, Maisie-Nour Symon Henry, Jean-Jacques Camy, Rachel Gamache, Noémie Laporte, Alexis Rodrigue-Lafleur, Daniel Canty, Jean-Louis Trudel, Hélène Laforest, Simon Alarie, Lise Gagnon, Anne-Marie White et Thomas Dufour

Dans le numéro 26 de la revue Entrevous, le Mois de l’histoire des noirs est souligné avec un atelier de caviardage poétique d’un essai sur le racisme; la section «marché des mots» rassemble neuf contributions libres : poésie, prose poétique, micronouvelle, haïku et haïshas et la section «tour de phrase - oxymores» contient des citations oxymoriques, deux questions quiz sur ce genre littéraire, puis la micronouvelle et le poème gagnants de l’appel à contribution.

Le numéro 192 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa transmission autant que dans sa résistance. Emmanuelle Riendeau, par exemple, retrace les « limites de l’extensibilité » dans les gestes du quotidien, jusqu’à ses crispations, embourbements et débordements. « La douleur a son savoir », reconnait malgré tout Luz Volckmann, et on peut compter sur la mémoire du ventre et de la peau pour accompagner nos rééducations.