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 Ce coffret contient une sélection de 4 revues culturelles québécoises consacrées à la littérature. Retrouvez un exemplaire des revues Estuaire, Le Sabord, Lurelu et XYZ. La revue de la nouvelle. 

Dans le numéro 48-1 de la revue Lurelu, Isabelle Crépeau interviewe l'écrivain Jonathan Bécotte, Sophie Marsolais parle à Véronique D'Anjou, et Sophie Pouliot rencontre les co-directeurs et co-directrices de deux nouveaux festivals de théâtre pour les jeunes publics.

Dans le numéro 47-2 de la revue Lurelu, Isabelle Crépeau interviewe l’illustratrice et autrice chevronnée Caroline Merola; Nathalie Ferraris a échangé avec l'équipe des éditions David; Sophie Pouliot a rencontré la nouvelle directrice du festival Petits Bonheurs, Esther Duquette et plusieurs autres chroniques remplissent ce numéro de la rentrée.

Ce coffret contient une sélection de 5 revues culturelles québécoises consacrées à la littérature. Retrouvez un exemplaire des revues Femmes de parole, Les écrits, Lettres québécoises, Mœbius et Spirale.

Le numéro printemps-été de la revue Lurelu s’ouvre sur une belle entrevue de Stéphanie Lapointe, sous le titre approprié «Les étoiles filantes». En quatre ans, ses œuvres pour jeunes lui ont valu deux fois le Prix littéraire du Gouverneur.général.

Le numéro printemps-été de Lurelu s’ouvre sur une belle entrevue d’Angèle Delaunois, dont la candidature au prestigieux Prix Hans-Christian-Andersen 2022 a été déposée par IBBY-Canada. Les sections nationales de l’International Board on Books for Youth proposent à tous les deux ans la candidature d’un auteur jeunesse.

Au sommaire du numéro d’automne de la revue Lurelu figure une entrevue avec l’artiste Émilie Leduc, illustratrice. Quatre autres illustratrices, dont ValMo et Caroline Hamel, et quatre auteures, dont Évelyne Gauthier et Andrée-Anne Gratton, se sont prêtées au questionnaire ludique « Créateurs d’ici ».

Au sommaire du numéro d’automne de la revue Lurelu figure une entrevue avec l’artiste Anne Villeneuve, mainte fois primée et qui a reçu entre autres : le Prix du Gouverneur général en 2000 pour L’écharpe rouge et le Prix TD de littérature jeunesse canadienne, 2009, pour l’album Chère Traudi.

Isabelle Crépeau interviewe l’auteure Lou Beauchesne, récipiendaire du Prix du gouverneur général 2023, livre jeunesse, pour Linoubliable. Pour sa part, Sophie Marsolais a parlé à Véronique Lambert, la lauréate du Prix Cécile-Gagnon 2023, le prix de la relève en littérature jeunesse et Élaine Turgeon présente l'ouvrage collectif Rencontres, où 15 auteurs ou illustratrices jeunesse témoignent de leurs expériences dans les classes, ce sont quelques exemples de sujets qui font partie de ce volume 47, numéro un de la revue Lurelu. 

Ce numéro de Lurelu met à l’honneur des récipiendaires de prix littéraires jeunesse. Isabelle Crépeau interviewe l’auteure Julie Champagne, lauréate du Prix du gouverneur général 2022, livre jeunesse, et du Prix jeunesse des Libaires, romans pour les 12-17 ans.

Au sommaire du numéro printemps-été de la revue Lurelu, retrouvez des entrevues avec des artistes de tous les horizons, en commençant par celle de Mario Brassard, récipiendaire du Prix littéraire du Gouverneur général 2018 volet livre jeunesse et avec l’écrivain François Gravel qui a reçu cet hiver le prix Raymond-Plante.

Plusieurs éléments du Lurelu printemps-été ont en commun des prix récemment décernés. Le bédéiste Jean-Paul Eid, auteur du Petit astronaute, nous est présenté par Nathalie Ferraris. Son album a gagné l’un des Prix BD 2022 du Salon du livre de Trois-Rivières, ainsi qu’un Prix des Libraires 2022.

Dans ce numéro des Cahiers de lecture de l’Action nationale, lisez des entretiens et de nombreuses recensions couvrant un large spectre de sujets allant des mœurs politiques à la crise climatique en passant par la transidentité et la quête de sens.

Cette édition des Cahiers de lecture de L’Action nationale propose la recension de 23 essais sur une foule de sujets variés allant du jazz au courtage financier, du militantisme à l’œuvre de Fernand Dumont en passant par le duplessisme, l’historien Maurice Séguin, Hydro Québec, le droit civil et la famille.

Au sommaire du numéro d’automne de Lurelu figurent des entrevues avec les illustratrices Mélanie Watt et Mireille Levert, cette dernière ayant été finaliste aux Prix littéraires 2020 du Gouverneur général, volet livre illustré pour enfants.

Interview avec l’illustrateur et bédéiste Guillaume Perreault, entretien avec Pierre Labrie et Robert Soulières, coups de cœur des membres de la rédaction sont quelques exemples de sujets qui font partie de ce volume 46, numéro deux de la revue Lurelu. 

Dans le numéro de la rentrée de Lurelu, Isabelle Crépeau interviewe l’illustrateur Gérard DuBois, récipiendaire du Prix du gouverneur général 2021, livre jeunesse illustré. Pour sa part, Sophie Marsolais a reçu Jennifer Tremblay, dramaturge et co-fondatrice des éditions La Bagnole, qui portait ce jour-là son chapeau d’auteure jeunesse.

Après une année marquée par la pandémie, le confinement et les restrictions de déplacements, les Cahiers de lecture de l'Action nationale se penchent sur les notions, cruciales en ces temps incertains, d'habitat et de transhumance.

Ce numéro des Cahiers de lecture de l'Action nationale recense plusieurs essais en lien avec la nature et le marché de l'alimentation. Il présente également un entretien avec Étienne‑Alexandre Beauregard, auteur de l'essai Le retour des Bleus (2024).

Cette édition des Cahiers de lecture de L’Action nationale souligne les démarches pour donner un statut juridique au Saint-Laurent. Lisez-y aussi des recensions portant sur les guerres et le nazisme, la nature symbolique du pays et les curiosités de son histoire, les astres et les microbes, ainsi que le transhumanisme.

Les textes de ce numéro des Cahiers de lecture de L’Action nationale sont réunis autour de la thématique «Penser la pensée».

Ce numéro propose plusieurs recensions d’essais sur la science et les technologies. Histoire des épidémies, état des métiers scientifiques sous le libéralisme, biologie, gestion des égouts et des eaux, héritage du Frère Marie-Victorin ou encore Big Data, les sujets abordés sont vastes et d’une grande pertinence.

Les Cahiers de lecture de l’Action nationale se penchent sur des essais qui traitent de la terre, du territoire et de l’histoire. La terre, celle qu'on habite et qu'on cultive, le territoire, celui qu'on revendique et qu'on négocie, et l'histoire, celle qu'on personnifie et qu'on enseigne.

Cette livrée des Cahiers de lecture de L’Action nationale propose des recensions d’essais regroupés autour du thème de « ce qui se dépose ». Ce qui se dépose dans le présent, d'abord, ensuite pour la pensée, enfin dans la culture.

Cette livraison des Cahiers de lecture de L’Action nationale met de l’avant trois essais de Geneviève Dorval-Douville et Jean-François Gingras. Lisez l’entretien de Pascal Chevrette avec les deux auteurs autour des trois priorités nationales que sont la santé, l’éducation et la territorialité.

Ce numéro des Cahiers de lecture de l'Action nationale dans ce numéro part du nom des lieux, des terres d'asphalte jusqu'au bout de la route en passant par l'histoire des sacrifiés de l'Outaouais, des rebelles du Bas-du-fleuve et de l'école historique de Québec. 

Dans ce numéro de Printemps 2025 des Cahiers de lecture de L’Action nationale, l’histoire et l’actualité internationale se rencontrent dans la section « Frontières et identité », alors que le « Regard Marie-Victorin » sur l’organisation de toutes choses se pose à travers le regroupement d’ouvrages de réflexion écologiques.

Les textes de ce numéro des Cahiers de lecture de L’Action nationale sont réunis autour de la thématique «Terre et mer».

Le numéro 176 de Nuit blanche consacre un dossier à l’œuvre de Stanley Péan : Louis-Martin Savard jette un regard sur ses 35 ans de carrière littéraire et Gérald Baril commente Noir satin, paru aux Éditions du Boréal. Plus encore est à découvrir dans ce numéro ! 

En couverture du numéro d’automne de la revue Lettres québécoises, retrouvez l’écrivaine, dramaturge et traductrice Fanny Britt. Le dossier présente un autoportrait, puis un portait d’amitié par la dramaturge Alexia Bürger ; une lettre-hommage, une analyse critique de son œuvre et de ses personnages et plus encore.

En couverture de l’édition automnale de Nuit blanche, retrouvez non pas une personne réelle, mais une modélisation 3D, un avatar numérique créé à partir de fragments d’images, de textures biologiques, tel un Frankenstein moderne. Il s’agit d’une œuvre, inédite à ce jour, de l’artiste multidisciplinaire et autrice Karoline Georges.

Pour son numéro 191, Lettres québécoises consacre un grand dossier à l’écrivaine et professeure Anne Élaine Cliche. Les textes du dossier se veulent une porte d’entrée menant à un univers littéraire intriquant et foisonnant.

La revue Liberté propose un dossier sur la naissance dans une optique philosophique, historique, théorique. Comment naît-on aujourd’hui ? Qu’est-ce que naître, au juste ? Et comment serait un monde qui accorde la plus haute importance à la naissance, quelle société pourrait en naître ?

La revue Nuit blanche récidive avec un second numéro printanier consacré à cartographier l’imaginaire québécois, région par région. Après un dossier sur le Saguenay-Lac-Saint-Jean (printemps 2018), voici un numéro porté par l’imaginaire de la Côte-Nord, ce « pays dans le pays ».

Pour son édition estivale, Nuit blanche propose discussion et réflexions autour des « arts littéraires ». Il est aussi question de sexualité avec un article sur trois ouvrages consacrés à « Marie-Victorin, un frère pas comme les autres », et un sur l’essai explosif de Laura Kipnis.

C’est François Blais que l’on retrouve à la une du numéro hivernal de la revue Lettres québécoises. L’auteur s’est prêté au jeu de l’autoportrait et du questionnaire LQ, Dominic Tardif l’a rencontré, Josiane Cossette lui adresse une lettre et David Bélanger offre une traversée de son œuvre.

Pour son numéro d’automne, la revue Lettres québécoises propose en couverture la poète et autrice Carole David, dont l’œuvre fait l’objet d’un dossier comprenant un autoportrait de l’écrivaine, un « récit-hommage » par son éditrice aux Herbes rouges, Roxane Desjardins, et une analyse de son œuvre signée Karianne Trudeau Beaunoyer.

Cet hiver, la revue Lettres québécoises vous invite à partager ses rêveries acides dans un dossier consacré à la dystopie. Retrouvez-y une présentation historique de la dystopie au Québec par Jean-Louis Trudel et une série d’encadrés lexicographiques sur les termes et sous-genres de la dystopie par Mathieu Lauzon-Dicső.

Dans le numéro 341, « Sexe en novembre », l'équipe de la revue Liberté souhaite que parler de sexe redevienne une fête, une célébration de la diversité, de l'inventivité et de l'amour.

Dans ce 173e numéro de Nuit blanche, on suit le parcours de Jean-François Létourneau, explorant une conscience du territoire et un sentiment «sauvage» de la terre ravivés par l’apport de la littérature autochtone.

La revue Lurelu présente deux entretiens avec des éditeurs jeunesses, un dossier sur les documentaires scientifiques jeunes publics et une revue des abécédaires de la dernière décennie, en plus de deux nouvelles primées lors du concours littéraire de la revue édition 2022.

Cet automne, Lettres québécoises propose un dossier consacré à la poète Diane Régimbald. Il comprend, en plus des textes de Louise Dupré, Denise Desautels, Mimi Haddam, Simon Dumas, Colin Zouvi et Katia Grubisic, un échange épistolaire entre les deux éditrices de Diane Régimbald et plus encore.

Ce printemps, la revue Lettres québécoises se penche sur un sujet tumultueux, le milieu littéraire et l’argent. Qui en fait, qui n’en fait pas ? Comment sont réellement répartis les profits de la vente d’un ouvrage ? Vous pourrez lire un retour sur la protestation des écrivains contre le travail gratuit.

Le numéro d’hiver de la revue Lurelu s’ouvre sur une entrevue avec Valérie Picard, l’éditrice de Monsieur Ed, une maison qui publie des livres jeunesses souvent remarqués. Mentionnons aussi l’entrevue de l’auteure acadienne Diane Carmel Léger, qui était l’une des invitées à la Foire du livre de Francfort.

Ce numéro de Liberté présente un dossier sur le fleuve, estuaire d’exception, précieux gardien de la biodiversité, et part à la rencontre de gens qui le chérissent et le protègent.

L’édition de l’automne de Nuit blanche met de l’avant Emma Haché, dramaturge et poétesse acadienne, rarement présentée en Acadie. Benoît Doyon-Gosselin brosse son portrait et l’autrice offre un poème inédit.

La revue Liberté consacre un dossier thématique aux enfants. Découvrez de fascinantes contributions sur leur surprotection, le privilège de l’innocence, inégalement réparti parmi les enfants, et la fonction doudou de la littérature.

Le numéro d’hiver de la revue Lurelu s’ouvre sur un texte de Patrick Senécal déplorant le peu d’appui qui s’est manifesté de la part du milieu littéraire, durant le procès qu’a subi l’auteur pour ados Yvan Godbout.

Pour son numéro d’été, la revue Lettres québécoises propose un grand dossier sur l’écrivain d’origine congolaise Blaise Ndala ainsi que les réflexions de douze créateurs et créatrices francophones de partout au pays pour mieux explorer l’écriture et la littérature franco-canadiennes.

Ayant comme point de départ la question « Écrivons-nous pour changer le monde ? », posée par Valérie Lefebvre-Faucher dans son plus récent livre, Promenade sur Marx, le numéro d’hiver de la revue Lettres québécoises propose un dossier consacré à l'essai québécois.

Qui est cette femme mystérieuse portant le large chapeau en couverture du numéro d’automne de la revue Nuit blanche ? Catherine Colomb, romancière suisse ayant passé inaperçue en dehors de son pays, « est pourtant une des plus grandes écrivaines du XXe siècle ».

La revue Nuit blanche souligne cette année ses 40 ans et pour l’occasion, elle revisite les portraits d’écrivains et d’écrivaines publiés dans ses pages au fil des ans. La rétrospective débute dans cette édition par un regard sur les années 1980.

Et si nous refusions de confirmer notre identité? Ce numéro 340 | « Anonyme. Sommes-nous les mêmes sans noms? » de la revue Liberté est un numéro anonyme, qui multiplie les pseudonymes, les refus de se rapporter, les fausses pistes et les graffitis.

Liberté propose un dossier singulier intitulé « La disparition du ciel ». Quel est notre rapport à la transcendance, au mystère, à ce qui nous dépasse ? Quelles sont les formes de spiritualité que l’on cultive aujourd’hui ? La rationalité scientifique a-t-elle tout avalé ?

Ce numéro des Cahiers de lecture de l'Action nationale recense plusieurs essais en lien avec la nature et le marché de l'alimentation. Il présente également un entretien avec Étienne‑Alexandre Beauregard, auteur de l'essai Le retour des Bleus (2024).

Ce printemps, Lettres québécoises consacre sa une à l’écrivaine et éditrice Yara El-Ghadban. L’autrice écrit son autoportrait et répond au questionnaire LQ, alors que Gilles Bibeau, Khalil Khalsi, Sarah-Louise Pelletier-Morin, Emné Nasereddine et Rodney Saint-Éloi signent les autres textes du dossier.

En couverture de ce numéro de Nuit blanche, retrouvez une photographie de l’écrivaine Marie-Claire Blais, prise lors d’une entrevue pour le dossier « Vivre ailleurs pour écrire ». Thérèse Lamartine rend hommage à la disparue qui « n’avait rien perdu de son intensité et de sa générosité ».

Dans ce numéro, Liberté présente un dossier sur les drogues. Réfléchir aux drogues aujourd'hui nous amène forcément à parler de détresse et de pauvreté, de rapports coloniaux et de mainmise sur le savoir, mais aussi de notre recherche de la joie, du rire et du mystère.

Pour son édition estivale, la revue Lettres québécoises célèbre Les Herbes rouges, maison d’édition cinquantenaire cette année. Lisez-y une grande entrevue par Sébastien Dulude avec François Hébert, cofondateur des Herbes rouges, 71 ans, et Roxane Desjardins, 28 ans, poète et nouvelle éditrice de la maison d’édition.

Le numéro d’hiver de la revue Lurelu s’ouvre sur une entrevue avec Martin Balthazar, directeur des Éditions de la Bagnole depuis que le véhicule, mis sur la route par la dramaturge Jennifer Tremblay et le comédien Martin Larocque, a été vendu au Groupe Ville-Marie Littérature.

Cette édition de Liberté est le premier numéro d’un diptyque pour souligner le 60e anniversaire de la revue, qui se déploie comme une sorte de radiographie du débat d’idées au Québec. Qu’a-t-on gagné et qu’a-t-on perdu ? Quelles promesses ont été tenues ? Lesquelles ont été reniées ?

Dans ce numéro, Liberté a voulu jeter un regard en arrière sur la mobilisation étudiante de 2012. Comment plonger dans le vif du sujet en évitant la nostalgie tout autant que l’amertume ? En proposant des textes qui s’inscrivent dans la tension, entre découragement et perspectives de mobilisations dans l'avenir.

En couverture du numéro printanier de la revue Nuit blanche se trouve l’une des bibliothèques de survie de l’auteur et voyageur littéraire Charles Sagalane, rappelant comment un atlas littéraire, à l’image de celui qui est présenté en ouverture, permet de découvrir le paysage littéraire québécois selon l’itinéraire de chacun.

Ce numéro de Liberté entend réfléchir à la place des aînés.es dans notre société. Quel espace de parole et d'existence leur réserve-t-on ? Tentons-nous réellement de les inclure au dialogue entre les générations ? Pourquoi existe-t-il un pareil tabou entourant les inévitables effets du temps sur le corps ?

Ce numéro des Cahiers de lecture de L’Action nationale propose un hommage à l’homme de lettres Michel Lessard en plus des habituelles recensions d’essais québécois. On y aborde les sujets de l'anglais au Québec, de la notion d'enseignement, du troisième lien ou encore des centres jeunesse.

Sur la couverture du numéro printanier de la revue Lettres québécoises pose l’autrice anglo-montréalaise Heather O’Neil (La vie rêvée des grille-pain, Hôtel Lonely Hearts, Mademoiselle Samedi soir, traduits chez Alto par Dominique Fortier). Le portrait de l’écrivaine sert de prémisse à un dossier spécial « Écrire en anglais au Québec ».

Au tournant des années 2010-2020, il n’est pas inutile « de savoir, de se rappeler, de découvrir que la boucane a déjà existé, ainsi que quelques barbus ». Avec le dossier ou plutôt collage, « Québec psychédélique », la revue Nuit blanche revisite, dans ce numéro, une époque où « tout était à refaire ».

En couverture du numéro hivernal du magazine Nuit blanche, retrouvez un portrait de l’écrivain américano-montréalais David Homel. Redécouvrez, dans la rubrique Écrivaines méconnues du XXe siècle, l’œuvre abondante de la chroniqueuse et romancière Jeanne Loiseau, connue sous le pseudonyme de Daniel Lesueur, active jusqu’au début de la Première Guerre mondiale.

Ce numéro des Cahiers de lecture de L’Action nationale vous invite à « Prendre le large », à explorer à une autre vitesse et sous d’autres angles les paysages et l’histoire. Retrouvez-y diverses recensions ouvrant des perspectives sur plusieurs enjeux de notre temps comme la liberté d’expression, les mouvements migratoires ou le cosmopolitisme.

Dans le numéro 47-3 de la revue Lurelu, Nathalie Ferraris fait un survol de l'édition jeunesse canadienne-française, hors-Québec, soit huit éditeurs; Isabelle Crépeau interviewe la co-éditrice d'Écosociété, Élodie Comtois; Sophie Pouliot a rencontré Jean-François Guilbault, nouveau directeur artistique de L'Arrière Scène, le diffuseur de théâtre jeunes publics sur la rive sud de Montréal et plusieurs autres chroniques remplissent ce numéro hivernal.

Le volet fiction de Solaris 235 (hiver 2025) débute avec « Prendre le train pour Compostelle », une novelette signée Jean-Louis Trudel qui nous amène sur la Lune, et enchaîne avec trois textes s’étant mérité des honneurs : « La Voie ferrée », de Rosalie Demers (gagnante du concours Huis Clos – Boréal / Les Montagnes Hallucinées) et deux courtes nouvelles de Martina Chumova, « La Bibliothèque », et Clélia Pulido-Ferrois, « Le Limaçon téméraire », respectivement gagnante des catégories « Pro » et « Relève » du concours d’écriture sur place du Congrès Boréal.

Ce dossier rassemble des exercices de « refus ». Refus du genre attribué, refus du droit, blocages écologiques, boycott économique. Dans cette société qui ne sait pas se faire dire non, qui nie ses propres limites, qui ne respecte pas la volonté des populations, dans ce monde où n'importe quel homme répondra présent quand un mari offre le corps de sa femme sans qu'elle puisse refuser, nous nous sommes demandé c'est quoi le problème avec le geste de refuser? Et il nous a semblé utile de nous exercer.