The issues

C’est sous le thème « Coming-out » que se déploie l’édition automnale de XYZ. La revue de la nouvelle. La sortie du placard prend ici des formes diverses, violente ou libératrice.

La morale en littérature est aujourd’hui – comme c’est périodiquement le cas – au cœur de polémiques diverses. C’est pourquoi XYZ a eu l’idée d’inviter des auteur·trices à empoigner cette morale, à voir si, d’aventure, on ne pouvait pas faire de la littérature avec ça.

« Quel rapport entretenons-nous désormais avec le matériel ? Que restera-t-il de nous lorsque tout sera sur le cloud ? ». Zone occupée propose un dossier sur cet incroyable besoin de l'humain d’accumuler du matériel dans un monde où tout se dématérialise.

La revue Zone Occupée se demande dans ce numéro s’il est possible d’imaginer ce qui constitue aujourd’hui la base de l’humain de demain. Qui sommes-nous et que sommes-nous en train de devenir ?

Dans ce premier volet d'un dyptique consacré à la Nature au sens écologique du terme, la revue Zone Occupée se penche sur la notion de ressource. Les contributions interrogent cette tendance de l'humain à voir la nature comme une chose à contrôler et exploiter, quadriller et utiliser.

Zone Occupée propose un numéro sur le thème de la proxémie. Il rassemble des textes qui interrogent « ces distances entre nous qui créent parfois des éloignements ou des abîmes, mais aussi des proximités et voire des contingences. »

Zone Occupée consacre un dossier à la notion de survie. On y traite de résilience mais aussi de créativité, des façons d’aborder l’inabordable et de comprendre l’incompréhensible, des avenues par lesquelles l’art et la culture nous permettent d’exister et de surmonter l’oubli du temps.

La revueZone Occupée présente un numéro sous le thème Gastronomie / Pourriture. Sujet de société, d'économie et de politique, la nourriture est abordée dans toutes ses formes et stades transformation.

Zone Occupée a confié la direction du numéro « Résurgence » à Marie-Andrée Gill, qui s'est entourée pour l'occasion des artistes Eruoma Awashish, Caroline Monnet, Kim O'Bomsawin et Emilie Monnet. Au fil des pages, elles déploient les savoirs et les philosophies autochtones par l'intermédiaire de l'art.

La revue Relations consacre le dossier du numéro de mars-avril à la justice alternative, car punir ne suffit pas toujours. Les tribunaux s’engorgent, les personnes marginalisées, racisées ou autochtones sont surincarcérées. L’approche punitive, au centre de notre système judiciaire, se confronte souvent à ses propres limites et dérives.

Le numéro de mai-juin de la revue Relations aborde le bouleversement de nos repères, à l’aube de la crise écologique, alors que les migrations et la décolonisation croissent. L’hégémonie de l’Occident décroit et ce décentrement engendre des remises en questions parfois anxiogènes, toujours nécessaires, potentiellement salutaires.

C’est à la marche que se consacre le numéro d’août de la revue Relations. Que ce soit sous la forme de promenades, flâneries, randonnées, pèlerinages ou manifestations de rue, la marche occupe une place centrale dans l’existence humaine.