Création littéraire

Vers où allons-nous ? Pour son numéro 195, Estuaire a invité des poètes à écrire ces courants transitoires.

Les textes de ce numéro de Les écrits se révèlent entre souvenir et résilience.

Six autrices islandaises et québécoises livrent leur vision du Nord et de la non-parité homme-femme en littérature dans leur pays.

Dans Entrevous 29 : un jeu d’appariements haïku et image du domaine public, une bibliothèque imaginaire, le Marché des mots, une rencontre de l'auteur Nicholas Dawson.

Dans ce numéro de Brins d’éternité, nous explorons les liens mouvants entre l’art et la science-fiction, là où l’imaginaire devient performance, métamorphose et invention.

Entre les transparences aux reflets hyalins, la vie éclot, croît, grouille et se laisse observer. Tantôt de chair, tantôt de vent, ce qui enclot à la fois cultive, protège et étouffe. Le vivarium est l’enceinte dans laquelle on veut surveiller, faire vivre, profiter. Il faut beaucoup de sensibilité, de présence et de patience pour écouter ce qui pousse – vers le haut, vers le bas, et aussi de travers.

Dans le numéro 120 de la revue de poésie Exit, trois duos de poètes d'ici ont composé des poèmes en résonance avec l’œuvre de trois poètes poursuivies pour des raisons politiques dans leur pays d’origine.

Dans le numéro 13 de Femmes de parole, 21 voix suédoises et québécoises, autochtones et non-autochtones nous livrent leur vision de notre identité ancrée dans notre nordicité commune.

Mœbius dédie son un numéro 184 au thème de la « La terre voyage / de révolution en révolution ».

Dans le numéro 163 d’XYZ. La revue de la nouvelle, le défi lancé aux nouvellistes est d'écrire depuis les fins éventées, mais maintenir la tension, l’émotion, et ne pas vous décevoir sur les derniers mots.

Dans ce numéro d'Entrevous no. 28, hériter se conjugue au présent en chanson, poésie, nouvelle, récit de voyage, conte et art visuel.

Ce numéro estival de Brins d’éternité explore la question de l'originalité en littérature. Face au défi d’avoir « déjà tout dit », une réflexion fascinante s’impose : est-ce la nouveauté du récit qui compte, ou l'art de le raconter ?