Les numéros

L’Inconvénient étudie le pays incertain. « Depuis le référendum de 1995, [...] la question de l’indépendance s’est curieusement échappée du discours public, comme si elle avait été elle-même aspirée dans les limbes du pays non advenu. »

L’Inconvénient se branche sur la crise sanitaire engendrée par la pandémie de COVID-19 qui ébranle la société depuis plusieurs mois déjà. Comment sera l’après-pandémie ? Changerons-nous vraiment ou oublierons-nous après un moment, bien confortablement installé dans une normalité retrouvée ?

La revue L’Inconvénient propose un dossier sur l’art (presque perdu) du dialogue. Au cœur du dossier, retrouvez des essais sur la polémique, la notion de dialogue, la tolérance ou quoi dire (ou ne pas dire).

« Qui a peur des changements climatiques ? » s'interroge L’Inconvénient. Les climatologues multiplient les avertissements quant à la catastrophe qui nous guette. L’humanité reste pourtant curieusement immobile face à ces mises en garde. Que signifie cette inertie tragique ? Quelles en sont les causes profondes ?

Ce numéro de L’Inconvénient présente « Des philosophes qu’il ferait bon relire ». Pourquoi relire des philosophes du passé ? Parce qu’ils ont étudié notre condition de mortels (toujours en cours) et qu’ils ont fréquenté le genre humain, ce dernier n’ayant pas tellement changé depuis.

L'Inconvénient propose le dossier « La purification du genre humain ». « La notion d’ "espace sécuritaire" façonne lentement mais sûrement les politiques de gestion des milieux professionnels, d’enseignement, gouvernementaux. [...] Dans quelle mesure pouvons-nous expurger les rapports sociaux de tout inconfort, de toute vexation ?

L’Inconvénient propose un dossier sur un grand homme nous ayant récemment quitté, l’anthropologue, auteur et homme de radio, Serge Bouchard. Mêlant souvenirs, hommages et autres héritages, les collaborateurs.trices racontent Serge Bouchard, tel qu’ils et elles l’ont connu (et apprécié).

L’Inconvénient entreprend de baliser les tendances et écoles de la littérature québécoise contemporaine afin d’en cerner la structure, l’écosystème, voire la spécificité dans son dossier « Les nouveaux courants de la littérature québécoise ».

L’Inconvénient propose un numéro sur « L'histoire contestée ». Les collaborateurs.trices réfléchissent sur notre rapport à l'Histoire, l'importance de son écriture, ses liens avec la question de l'identité, mais aussi sur la mémoire qu'on combat, qu'on recherche et sur la place de ses représentations dans la Cité.

L’Inconvénient s’intéresse au nouveau visage de la politique québécoise. L’arrivée de la CAQ au pouvoir a considérablement modifié le paysage politique québécois, au point où ce parti pourtant jeune donne l’impression d’être là depuis toujours. Évolution décisive ou simple parenthèse ?

Sur la couverture du numéro printanier de la revue Lettres québécoises pose l’autrice anglo-montréalaise Heather O’Neil (La vie rêvée des grille-pain, Hôtel Lonely Hearts, Mademoiselle Samedi soir, traduits chez Alto par Dominique Fortier). Le portrait de l’écrivaine sert de prémisse à un dossier spécial « Écrire en anglais au Québec ».

Pour son édition estivale, la revue Lettres québécoises célèbre Les Herbes rouges, maison d’édition cinquantenaire cette année. Lisez-y une grande entrevue par Sébastien Dulude avec François Hébert, cofondateur des Herbes rouges, 71 ans, et Roxane Desjardins, 28 ans, poète et nouvelle éditrice de la maison d’édition.