Les numéros

Le numéro 97 de L’Inconvénient a pour thème « L'impératif sportif » et tente de répondre aux questions concernant notre rapport au sport.

Le dossier du numéro 211 de la revue 24 images vise à interroger les liens entre la littérature et le cinéma, plus particulièrement sous le prisme de l’adaptation de fictions littéraires québécoises à l’écran.

Le quatrième numéro du volume 29 d'Histoire Québec s'intitule « Commémoration et patrimoine commémoratif - se souvenir, ensemble » et explore comment se construit la mémoire collective. 

Le numéro 181 de la revue de création littéraire Mœbius se consacre au rire.

Dans le numéro 171 de la revue Les Écrits propose une suite estrienne présentée par Anne Brigitte Renaud et France Mongeau. Ce numéro comprend également le texte de Marianne Goulet, la lauréate de l’édition 2024 du prix Jacques-Crête.

Ce numéro 193 de la revue Lettres québécoises explore l’oeuvre de la romancière et poète Caroline Dawson.

Dans le numéro 157 de la revue Cap-aux-Diamants, il est question de la minorité franco-protestante en Amérique française. De plus, on y présente également deux articles signés William Riguelle et Emmy Bois, issus du septième concours de textes en histoire destiné aux historiens et historiennes de 35 ans et moins. 

Ayant pour thème « Les oiseaux », le dossier du no 137 de la revue ESPACE art actuel s’intéresse aux espèces aviaires comme sources d'émerveillement. 

Cette édition des Cahiers de la SQRM présente le dossier, « Moments charnières en recherche musicale », qui explore le foisonnement que connaît actuellement la recherche musicale. 

Dans le numéro 343, « Nourrir le monde, comment manger en temps de crise ? », l'équipe de la revue Liberté se penche sur le royaume de l'alimentation.

Dans ce premier numéro du volume 38 de la revue Caminando, différentes perspectives nous informent sur le rôle, l’impact, mais aussi les défis des formes de résistance face à l’autoritarisme en Amérique latine et dans les Caraïbes.

Le dossier du numéro 286 de Spirale porte sur le jardin du cinéaste britannique Derek Jarman, décédé des suites du sida en 1994. L’oeuvre de Jarman nous invite à repenser le processus même de création comme un art de la mémoire dissidente, du mélange et de la transformation perpétuelle.