Les numéros

Cet automne, Caribou s’intéresse à cette science qu’est la nutrition : à son histoire, à ses impacts sur notre santé, à sa place dans notre quotidien et à ce qu’elle dit de nos sociétés.

Le monde végétal est ici l’objet d’une investigation attentive. Fruits, feuilles et branches, mais aussi insectes, champignons, oiseaux… servent ici de toile de fond à une projection de nos inquiétudes quant à notre relation à l’environnement.

Vers où allons-nous ? Pour son numéro 195, Estuaire a invité des poètes à écrire ces courants transitoires.

Que signifie « être en guerre » dans un pays situé à plusieurs milliers de kilomètres des principaux fronts ? Dans le contexte du 80^e anniversaire de la fin de la Seconde mondiale et s’appuyant sur un profond renouvellement historiographique des études sur les guerres, ce dossier veut répondre à cette question en envisageant tant ce que le conflit « fait » au Canada que comment le pays s’y engage.

Des écrivaines et écrivains s'interrogent sur l'empire grandissant que les objets exercent sur notre vie, notre pensée et notre monde.

Les textes de ce numéro de Les écrits se révèlent entre souvenir et résilience.

Six autrices islandaises et québécoises livrent leur vision du Nord et de la non-parité homme-femme en littérature dans leur pays.

Le social est énigmatique. Les sociologues sont les détectives de l’époque. Ceci est une invitation à enquêter.

Dans Entrevous 29 : un jeu d’appariements haïku et image du domaine public, une bibliothèque imaginaire, le Marché des mots, une rencontre de l'auteur Nicholas Dawson.

Ce numéro d’automne de Ciné-Bulles propose trois entretiens avec des figures singulières : Marie Brassard, pour son film Le train; Julien Élie, pour son nouveau documentaire Shifting Baselines; et Marie-Hélène Cousineau sur le cinéma autochtone.

Dans ce numéro de Brins d’éternité, nous explorons les liens mouvants entre l’art et la science-fiction, là où l’imaginaire devient performance, métamorphose et invention.

Le langage humain n’est plus l’élément structurant de la société. Notre système techno-économique repose désormais sur des réseaux électroniques et une puissance de computation massive. Plus des discours, mais des algorithmes ; plus des raisonnements, mais des listes d’instructions en codes.