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« Il faut que tu ruines tout », c’est sous ce thème que sont rassemblés les textes, en vers ou en prose, de ce numéro de la revue Moebius.

C’est à la citation « Je finirais par croire au sang » (Constance Debré, Love me tender, Flammarion, 2020) que répondent les textes de la section thématique de ce cent soixante-dix-septième numéro de Mœbius. En soumettant au public cette proposition conditionnelle, les copilotes de ce numéro, Lula Carballo et Maude Lafleur, étaient portés·es par ces questionnements : qu’est-ce c’est que le sang anime, et que faut-il pour prêter foi à celui-ci?

Dans le numéro « Je cultive le jardin de la furie » de la revue Mœbius ,auteurs et autrices remuent les fruits de leur mythologies intimes en acceptant que tout ne leur survivra pas. Mais que cueillent-ils de leur révolte ?

Ce numéro d'Estuaire a pour thème « Géographies », soit « ce qui se trouve sous nos pieds. Ou encore à ce que nous rêvons qui y soit ». Avec des poèmes de Martin Bélanger, Hector Ruiz et Mimi Haddam, entre autres, ainsi que des critiques de plusieurs recueils récents.

Chez Exit, on veut Oser l’amitié autant dans sa représentation littéraire et poétique que dans son travail formel sur le poème. C’est par le biais d’une rencontre avec David Bowie, amitié affabulée par Nicholas Giguère que s’amorce la section Dialogue, dans une suite d’entretiens menée par Gérald Gaudet.

Le numéro 127 du Sabord porte sur la « sororité ». Les créateur·rice·s de ce numéro ont tenté de répondre à la question, « Qu’est-ce que des sœurs ? ».

C’est à la citation «Les yeux lumineux, prompts à la riposte» (Une si longue lettre de Mariama Bâ) que répondent les textes ce numéro 180 de la revue de création littéraire Mœbius. 

C’est à la citation «Nous pouvons enfin laver nos blessures» (femme-rivière de Katherena Vermette, traduction de Rose Després) que répondent les textes ce numéro 179 de la revue de création littéraire Mœbius. 

C’est sous le thème « Coming-out » que se déploie l’édition automnale de XYZ. La revue de la nouvelle. La sortie du placard prend ici des formes diverses, violente ou libératrice.

« [O]n peut dire que la poésie est un curieux mélange de précision et de chaos. » (Stéphane Despatie) Dans cette édition d'Exit, retrouvez Nicholas Giguère, Odelin Salmeron, Éric Roberge, Dominique Lauzon, Serge Lamothe et Pierre Ouellet.

La revue Entrevous présente dans ce 23e numéro plusieurs oeuvres de création et récits : autour de la curiosité créatrice, de déambulations saisonnières, de dactylo et d'intelligence artificielle, du discours nationaliste, ainsi que de certains événements littéraires.

Une revue a toujours à voir avec des communautés mises en tension. En ces temps cruels, comment s’étonner que la question du lien social soit au cœur des textes de ce numéro des Écrits ?

« Déposer ma langue sur un crochet, crier enfin : “je suis rentrée à la maison!” » scande le numéro hivernal de la revue Mœbius. « Le crochet c’est naturel pour le manteau, ça lui va. Tandis que la langue… [...] »

Le numéro 191 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui opèrent un raccord entre la sensorialité et les affects, entre la déception et l’espoir, entre ce qui existe déjà et ce que l’on imagine. L’artiste en résidence est Marigold Santos.

 

Les textes de ce numéro de la revue Les écrits sont fortement ancrés dans la mémoire. Les poèmes de la Suite flamande ouvrent sur le silence, celui où homme, femme et enfant se « tasse[nt] » alors que le temps disparaît.

Au sommaire du quinzième numéro de la revue Entrevous se poursuit la publication de poèmes centons créés dans le cadre d’un projet de médiation culturelle qui revisite les revues et les livres que la Société littéraire de Laval a édités en 35 ans.

« Les poètes, peu importe d’où ils viennent, se ressemblent, nous sommes seulement humains, sans autres titres. » (Stéphane Despatie) Dans cette édition d'Exit, Martin Payette, Éric Roberge et Frédérique Dubé, ainsi que la poésie inspirée de Bertrand Laverdure, Sandrine Donkers et Bruno Montané Krebs.

Ce numéro de la revue Mœbius investit l’espace paradoxal de la pliure. Alors que certain·es auteur·trices montrent la corrosion du monde, d’autres y exercent une pression ou encore renversent le paradigme et témoignent de ces moments où le monde voudrait voir l’individu fléchir.

« Cucu et casse-gueule, l’union de la littérature et des fleurs bleues ne fait pas bon ménage ; qu’à cela ne tienne, voilà un défi que le numéro 142 de XYZ. La revue de la nouvelle de la nouvelle relève avec toupet ».

En traversant les poèmes de ce numéro d'Estuaire, vous ne penserez jamais « que la poésie était une fête», mais peut-être chercherez-vous « à nommer ce qui se passe quand les lumières s’allument après une trop longue soirée. On y est toujours mais on est aussi ailleurs. »

C’est sous le thème « Monument » que se déploie ce numéro de la revue Le Sabord. Le numéro comprend dix textes et cinq œuvres visuelles. Comme sur l’arbre, le temps passe sur le monument, s’y dépose et le sculpte. Celui-ci conserve et collectionne les moments contemplatifs.

Quinze auteurs·rices et artistes abordent les monstres dans la revue Le Sabord. Alors que nous vieillissons, les monstres de l’enfance se transforment. Désormais à l’étroit dans les nuits agitées, ils migrent vers des horizons complexes où, subtilement, ils déploient leur arsenal protéiforme pour provoquer peur, dégoût, inquiétude ou fascination.

« Dans l’ère qui nous gouverne, nous repoussons sans cesse les échéanciers de la vie pratique pendant que notre propre date de péremption, elle, stagne. » Ce numéro d'Exit s'inspire du temps. Lisez-y Madeleine Monette, Pedro López Adorno, Michel Pleau, Maria Grazia Calandrone, Daniel Leblanc-Poirier, Jean Perron et Guy Marchamps.

Le numéro printanier de la revue Mœbius , dirigé par Marc-André Cholette-Héroux et Olivia Tapiero vous propose des textes, en vers ou en prose, articulés autour d’une citation-thème de Vladimir Slepian  tirée de Fils de chien : « Écoutez ! Je serai votre chien, un bon chien, mieux que tout autre chien. »

C’est à la citation «Le lit ne sera plus jamais blanc» (Choir, Rosalie Lavoie) que répondent les textes ce numéro 178 de la revue de création littéraire Mœbius. Ces mots ruisselant de nos gorges baignent nos horizons de rouge. Nous pressentons l’incendie : cela s’enflamme déjà sous nos paupières. Nos émotions s’embrasent. 

C’est sous un nouvel habillage graphique que se présente Les écrits. Les œuvres de Marie-Claude Pendleton accompagnent les textes. Au sommaire, un texte d’Évelyne de la Chenelière, autrice en résidence, un essai de Gérard Cartier et quatre récits par Laurence Nobécourt, Patrick Lane, Guillaume Asselin et Jean-Paul Goux.

Que nous promettent les chambres d’hôte du numéro de XYZ. La revue de la nouvelle ? Qu’elles aient enseigne au Bic, à Percé ou à Séville, en bord de mer ou à la montagne, qu’elles fassent espérer l’exotisme ou le charme d’une autre époque, elles vous réservent plus d’une surprise.

Dans Entrevous 27 (février 2025) : les 40 ans de la Société littéraire de Laval, les prix Entrevous 2024, le projet de médiation culturelle « IA et les 40 poètes », trois dossiers « Mémoire littéraire », ainsi que les poèmes et les proses lus au concert des Chambristes de l'OSL pour les 20 ans de la Fondation lavalloise des lettres.

Le numéro 158 de la revue XYZ s'intitule « Climat : souffler le chaud et le froid ». Devant la dureté du réel, on se prend alors à rêver à d’autres univers possibles, où l’équilibre délicat du cycle de la vie ne serait pas menacé, et l’on dépose une poignée de semences au creux des mains des enfants, comme une promesse douce-amère que quelque chose nous survivra.

Le numéro 192 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa transmission autant que dans sa résistance. Emmanuelle Riendeau, par exemple, retrace les « limites de l’extensibilité » dans les gestes du quotidien, jusqu’à ses crispations, embourbements et débordements. « La douleur a son savoir », reconnait malgré tout Luz Volckmann, et on peut compter sur la mémoire du ventre et de la peau pour accompagner nos rééducations.