The issues

Tandis que les forces de notre époque semblent nous condamner à la superficialité, Nouveau Projet s’immerge pour faire contrepoids à nos vies qui flottent à la surface de l’instant. Ce numéro propose des plongées longue durée dont personne ne sortira indemne.

Ce numéro de Nouveau Projet est consacré à un seul thème : la fin d’un monde. Explorez la fin du voyage, des inégalités, du militantisme traditionnel, de la ville instrumentale, de l’apathie, du déni, de l’impuissance, du capitalisme fossile, de l’hiver, du self-care, du pétrole, d’un cycle.

« Rien ne nous a davantage manqué, depuis un an, que les bras des gens que nous aimons. » Nouveau Projet cherche à reproduire un peu de cette tendresse dans son numéro arrivé à l’orée d’un printemps que l’on souhaite en forme de lumière au bout du tunnel.

La vie moderne est caractérisée par la variété des options qu’elle nous offre. Nouveau Projet propose neuf regards croisés sur les choix : ceux que nous faisons, ceux qu’on nous impose, ceux que nous devrions faire et ceux que nous évitons, pour toutes les raisons du monde.

Ce numéro de Nouveau Projet marque le dixième anniversaire de la revue ! Pour l’occasion, la revue effectue un retour sur les 10 années de son existence, et sur les gens et les évènements qui les ont marquées.

Dans le cadre de son 10e anniversaire, Nouveau Projet se réinvente. Nouvelles formules et rubriques, textes plus soutenus : découvrez notamment des articles sur le culte de la surproduction à l’université, sur la libération féminine via OnlyFans ou encore un poème inédit de Michaël Trahan.

La revue Nuit blanche récidive avec un second numéro printanier consacré à cartographier l’imaginaire québécois, région par région. Après un dossier sur le Saguenay-Lac-Saint-Jean (printemps 2018), voici un numéro porté par l’imaginaire de la Côte-Nord, ce « pays dans le pays ».

Au tournant des années 2010-2020, il n’est pas inutile « de savoir, de se rappeler, de découvrir que la boucane a déjà existé, ainsi que quelques barbus ». Avec le dossier ou plutôt collage, « Québec psychédélique », la revue Nuit blanche revisite, dans ce numéro, une époque où « tout était à refaire ».

Le numéro d’automne de la revue Nuit blanche fait la part belle à des autrices d’horizon divers. En couverture et en entrevue, rencontrez l’écrivaine et artiste multidisciplinaire Karoline Georges dont le roman De synthèse a remporté le Prix littéraire du Gouverneur général en 2018.

En couverture du numéro hivernal du magazine Nuit blanche, retrouvez un portrait de l’écrivain américano-montréalais David Homel. Redécouvrez, dans la rubrique Écrivaines méconnues du XXe siècle, l’œuvre abondante de la chroniqueuse et romancière Jeanne Loiseau, connue sous le pseudonyme de Daniel Lesueur, active jusqu’au début de la Première Guerre mondiale.

C’est vers la Gaspésie et les Îles de la Madeleine que se tourne le magazine Nuit blanche, que ce soit aux Îles de Geneviève Boudreau, à Bonaventure chez Philippe Garon ou dans les terres de la Gespe’gewa’gi avec Philippe Ducros.

Pour son édition estivale, Nuit blanche propose discussion et réflexions autour des « arts littéraires ». Il est aussi question de sexualité avec un article sur trois ouvrages consacrés à « Marie-Victorin, un frère pas comme les autres », et un sur l’essai explosif de Laura Kipnis.