Culture and society

Liberté consacre ce numéro à la Caraïbe. Déplaçant la marge vers le centre, les articles qui composent ce dossier réfléchissent à l’américanité à partir de l’héritage et des trajectoires caribéennes.

Liberté nous invite en forêt. Ce numéro propose d'observer la forêt de l'intérieur, de s’imprégner de son imaginaire, de son relief et de sa complexité. Lisez sur l'apprentissage de la vie en forêt, sur la forêt comme lieu de résistance ou sur notre relation avec le loup.

Ce numéro de Liberté entend réfléchir à la place des aînés.es dans notre société. Quel espace de parole et d'existence leur réserve-t-on ? Tentons-nous réellement de les inclure au dialogue entre les générations ? Pourquoi existe-t-il un pareil tabou entourant les inévitables effets du temps sur le corps ?

Dans cette édition, la revue Liberté s’intéresse à l’enfermement : ses lieux, ses moments, sa logique, son organisation. Comment apprendre à connaître et reconnaître les « géographies de l'enfermement » telles qu'elles se déploient ici et maintenant, afin de mieux les défaire dans l'avenir ?

Dans ce numéro, Liberté a voulu jeter un regard en arrière sur la mobilisation étudiante de 2012. Comment plonger dans le vif du sujet en évitant la nostalgie tout autant que l’amertume ? En proposant des textes qui s’inscrivent dans la tension, entre découragement et perspectives de mobilisations dans l'avenir.

Dans cette édition, Liberté se penche sur le sport ! Haut lieu de la dynamique économique capitaliste et des rapports de domination, véhicule de violence, mais aussi vecteur de résistance à ces dynamiques mêmes, de solidarité et de plaisir tout simplement, l’univers sportif porte à la réflexion.

Dans ce numéro, Liberté présente un dossier sur les drogues. Réfléchir aux drogues aujourd'hui nous amène forcément à parler de détresse et de pauvreté, de rapports coloniaux et de mainmise sur le savoir, mais aussi de notre recherche de la joie, du rire et du mystère.

La revue Liberté propose un dossier sur la naissance dans une optique philosophique, historique, théorique. Comment naît-on aujourd’hui ? Qu’est-ce que naître, au juste ? Et comment serait un monde qui accorde la plus haute importance à la naissance, quelle société pourrait en naître ?

L’Inconvénient s’interroge sur la moralité de l’art à l’ère de la censure victimaire, où représentation rime trop souvent dans la tête des gens avec promotion d’idées jugées inacceptables. À la suite des affaires SLAV et Kanata, le débat a récemment refait surface. L’art doit-il être moral ?

Les débats sur l’avenir de l’université portent presque toujours sur des questions d’argent. Mais quelle devrait être sa mission ? L’a-t-on perdue de vue ? Offre-t-elle un espace de liberté ? La revue L’Inconvénient présente un dossier critique sur cette institution en mutation.

L’Inconvénient consacre un dossier thématique à l’autodérision. « Celui qui pratique l’autodérision consent à ce que les autres rient de lui ; en revanche, l’autodérision le laisse maître du jeu, puisque c’est lui-même qui décide de quoi l’on rit. Faire rire les autres sera-t-il une façon de les faire taire ? »

L’Inconvénient propose un numéro hommage à l’écrivain Pierre Vadeboncoeur. Le numéro comprend des lettres inédites à Yvon Rivard et à Jean-Pierre Issenhuth, des gravures et des dessins de sa main, ainsi qu’un entretien avec son fils Alain Vadeboncoeur.