Culture and society

Dans son édition estivale, la revue Relations s’intéresse à l’agriculture. Le rapport à la terre des Québécois·es s’est radicalement transformé depuis l’avènement du modèle agroindustriel. D’activité vitale, l’agriculture est devenue une activité marchande mondialisée qui met à mal la souveraineté alimentaire des peuples et la biodiversité.

L’édition automnale de la revue Relations propose un dossier sur la croyance. « Au Québec, nous aimons affirmer que nous sommes modernes et libérés de la “ croyance “, sous-entendu, de la religion. Mais n’est-ce pas là aussi une croyance, toute rationaliste soit-elle ?

Ce dossier de Relations nous met en face de la jeunesse qu’on exclut. Aussi au sommaire, un débat sur la légalisation de toutes les drogues, un entretien avec Gilles Vigneault, et le texte lauréat dans la catégorie analyse du concours « Jeunes voix engagées » 2021.

L’édition printanière de la revue Relations propose un dossier qui questionne les rapports troubles entre sexualité, corps et pouvoir. Le dossier explore une certaine conception des rapports de pouvoir, de la masculinité et de la sexualité, qui sous-tend tant de violence.

Pourquoi parlez de gratitude, alors que le monde est assombri par la pandémie, la crise climatique, la guerre ? Pour la revue Relations, ce n’est point par déni ou désir de fuir dans la croissance personnelle à saveur populaire. C’est plutôt, et au contraire, pour envisager le monde autrement.

Les GAFAM font partie de notre quotidien. Comment brider ce pouvoir démesuré qui façonne le monde selon ses intérêts, faisant peu de cas de la démocratie, des droits des travailleurs·ses, et de son empreinte écologique ? Relations pose la question dans le dossier de ce numéro.

Cet hiver, la revue Relations propose un dossier sur les personnes migrantes vivant sans statut au Québec. Souvent invisibilisée, leur situation découle de politiques migratoires néolibérales et utilitaristes qui les privent d’une vie digne et d’une citoyenneté pleine et entière.

Ce numéro de Siggi est consacré aux sociétés invisibles, ces entités sans structures officielles. Les articles de cette livraison offrent des exemples de ces étonnantes sociétés, des récits de terrain ainsi que les contours d’une sociologie de l’invisible.

Qu'attendons-nous ? De l'amour à l'idée géniale, de la fin de la pandémie à la réponse du propriétaire à propos d'un tuyau qui coule, ce numéro de la revue Siggi propose des réflexions sociologiques sur ce sujet fascinant qu'est l'attente.

Les « gens » sont partout. Mais qui sont-ils, ces « gens » ? Ce numéro de Siggi propose un dossier sur la question. Des sociologues lancent des pistes : les gens sont celles et ceux qu’on aime condamner, qui nous fascinent, qui nous rebutent et qu'on observent.

Dans ce numéro, Siggi aborde le style. À travers les articles richement illustrés de sociologues en provenance d’ici et d’ailleurs, explorez les tensions que renferment les différentes formes de style, de la musique au mobilier intérieur en passant par les accessoires pandémiques !

Dans ce dossier sur les fantômes, la revue Siggi se penche sur la mémoire et le passé, qu’ils soient personnels ou historiques. Il y est également question des relations entre humains et non-humains, des frontières entre culture, nature et surnaturel, de même que du spectre tragique de la guerre en Ukraine.