Le numéro
Estuaire 192
Le numéro 192 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa transmission autant que dans sa résistance. Emmanuelle Riendeau, par exemple, retrace les « limites de l’extensibilité » dans les gestes du quotidien, jusqu’à ses crispations, embourbements et débordements. « La douleur a son savoir », reconnait malgré tout Luz Volckmann, et on peut compter sur la mémoire du ventre et de la peau pour accompagner nos rééducations.
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Le numéro
Une douleur fantôme, dans le langage courant, est une douleur ressentie au niveau d’un membre qui a été amputé. Généralement, elle apparait quelques jours après l’amputation, mais il arrive qu’elle sur- gisse des mois, voire des années après.
Un bout de soi n’est plus là, et pourtant, jamais on ne l’a autant perçu.
Les poèmes de ce cent-quatre-vingt-douzième numéro apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa transmission autant que dans sa résistance.
Emmanuelle Riendeau, par exemple, retrace les « limites de l’extensibilité » dans les gestes du quotidien, jusqu’à ses crispations, embourbements et débordements. « La douleur a son savoir », reconnait malgré tout Luz Volckmann, et on peut compter sur la mémoire du ventre et de la peau pour accompagner nos rééducations.
Il y a des fantômes qui se cachent dans nos corps.
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Le numéro en détails
Formats |
Papier |
---|---|
Dimensions |
17 cm x 24 cm |
Nombre de pages |
200 pages |
Nombre de numéros par an |
3 |
ISBN papier |
9782921019637 |
Date de parution du numéro |
automne 2024 |
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