Le cent-quatre-vingt-treizième numéro d’Estuaire a pour thème le crémage. Les poètes vacillent entre l’excès et l’absence.
Le crémage de gâteau : Le sucre est un moyen d’avaler ses émotions sans les digérer. Les gens consomment-ils autant de sucre pour atteindre le plaisir, ou cela leur permet-il d’éviter le déplaisir de leur mode d’existence ?
Le crémage de la peau : La peau a le constant besoin d’être hydratée. Elle aussi exige son crémage. Matin, midi, soir. Sinon elle craque.
Le crémage comme la surface : On se cache derrière ses vêtements, ou alors on se dévoile. Qui n’a pas déjà posé des conclusions juste en voyant l’enrobage ?
Le crémage est aussi ce qui recouvre le corps du fœtus.
Estuaire veut beurrer épais, parce qu’on ne veut surtout pas passer dans le beurre.
La revue Estuaire est un espace de création, de réflexion critique et de dialogue autour des pratiques actuelles en poésie québécoise. Territoire de rencontre pour différentes générations de...
Pour son 196e numéro, Estuaire vous invite à réfléchir sur la frontière poreuse entre foi et dévotion, entre fascination et méfiance ; à explorer les cultes dans toutes leurs manifestations.
Les poèmes du numéro 194 de la revue Estuaire explorent la thématique : « Ossature ». L’ossature est ce qui tient tout en un corps (une forme, une structure).
Le numéro 192 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui apparaissent comme autant de manifestes de la survivance. S’y tend une souffrance aussi intime qu’ancestrale, persistante dans sa...
Le numéro 191 de la revue Estuaire rassemble des poèmes qui opèrent un raccord entre la sensorialité et les affects, entre la déception et l’espoir, entre ce qui existe déjà et ce que l’on...
Ce numéro regroupe des textes qui interrogent la mémoire intime et collective, convoquent des paroles souterraines, mettent en scène des identités fluides et vulnérables - tout ce qui résiste...
Pour son 196e numéro, Estuaire vous invite à réfléchir sur la frontière poreuse entre foi et dévotion, entre fascination et méfiance ; à explorer les cultes dans toutes leurs manifestations.
Dans Entrevous 29 : un jeu d’appariements haïku et image du domaine public, une bibliothèque imaginaire, le Marché des mots, une rencontre de l'auteur Nicholas Dawson.
Dans ce numéro de Brins d’éternité, nous explorons les liens mouvants entre l’art et la science-fiction, là où l’imaginaire devient performance, métamorphose et invention.