Les numéros

Ce numéro de Siggi est consacré aux sociétés invisibles, ces entités sans structures officielles. Les articles de cette livraison offrent des exemples de ces étonnantes sociétés, des récits de terrain ainsi que les contours d’une sociologie de l’invisible.

Qu'attendons-nous ? De l'amour à l'idée géniale, de la fin de la pandémie à la réponse du propriétaire à propos d'un tuyau qui coule, ce numéro de la revue Siggi propose des réflexions sociologiques sur ce sujet fascinant qu'est l'attente.

Les « gens » sont partout. Mais qui sont-ils, ces « gens » ? Ce numéro de Siggi propose un dossier sur la question. Des sociologues lancent des pistes : les gens sont celles et ceux qu’on aime condamner, qui nous fascinent, qui nous rebutent et qu'on observent.

Dans ce numéro, Siggi aborde le style. À travers les articles richement illustrés de sociologues en provenance d’ici et d’ailleurs, explorez les tensions que renferment les différentes formes de style, de la musique au mobilier intérieur en passant par les accessoires pandémiques !

Dans ce dossier sur les fantômes, la revue Siggi se penche sur la mémoire et le passé, qu’ils soient personnels ou historiques. Il y est également question des relations entre humains et non-humains, des frontières entre culture, nature et surnaturel, de même que du spectre tragique de la guerre en Ukraine.

Le magazine Spirale a 40 ans, et pour l’occasion, revêt de nouveaux habits. C’est donc avec un graphisme renouvelé que se présente ce numéro anniversaire. Au cœur de celui-ci, un dossier bilan où témoignent plusieurs directeurs et directrices ayant tenu le gouvernail à une époque lointaine ou plus actuelle.

La revue Spirale propose un numéro printanier sur l’appropriation culturelle où les collaboratrices et les collaborateurs réfléchissent sur ce que signifie le fait de parler en lieu et place d’autrui.

« Êtes-vous sérieux ? » demande la revue Spirale qui se penche sur les postures ironiques et l’usage du trivial pour ce numéro estival. Si le dérisoire ramène à l’insignifiant et au ridicule, et que trivial relève plutôt de l’ordinaire et du banal, ensemble, en complémentarité, ils définissent le niaiseux.

La revue Spirale consacre le dossier de son édition hivernale à la recherche-création et plus spécifiquement à la « partie essai » ainsi qu’elle se trouve nommée dans les corridors des universités, perçue de façon latente comme secondaire ou plus sérieuse.

Ce numéro de la revue Spirale propose une « Traversée intempestive » de ces archives des 40 dernières années. Six textes initialement publiés entre 2002 et 2014 sont regroupés dans ce dossier qui cherche à dégager quelques lignes de force théoriques, à mettre de l’avant le parcours dans lequel s’inscrit la revue.

L’édition estivale de la revue Spirale propose un dossier sur l’Iran : Iran Poésie / Image. Lisez-y une entrevue avec la photographe Anahita Ghabaian Etehadieh, un texte sur 24 Frames, dernière œuvre, posthume, du cinéaste iranien Abbas Kiarostami, ainsi qu’un autre texte sur sa poésie.

Ce dossier de la revue Spirale est consacré à la poésie, plus particulièrement aux discours critiques qui tentent de la penser en France, au Québec et aux États-Unis (avec des recensions de Manon Plante, Gabriel Proulx, Olivier Parenteau, Michaël Trahan, Pierre Popovic, Laurence Ouellet-Tremblay et Sara Danièle Bélanger-Michaud).