Culture et société

Le numéro hivernal des Nouveaux Cahiers du socialisme s’intéresse au retour à la droite politique et invite à développer une compréhension plus fine de l’identité des droites et des liens qui les opposent ou les unissent au sein d’un espace idéologique tissé de continuités historiques comme de ruptures.

Cette édition des Nouveaux Cahiers du socialisme présente un dossier sur le nationalisme revisité. Dans la première partie du numéro, l’évolution du capitalisme au Québec et au Canada est décortiquée. Dans la seconde, l’enchevêtrement des luttes sociales et des luttes nationales est examiné.

Cet hiver, les Nouveaux Cahiers du socialisme propose un dossier sur la sortie de crise : l’après- pandémie sera-t-il aussi un après-capitalisme ? Force est de constater que l’organisation capitaliste néolibérale a contribué à la crise actuelle et que cette pandémie ne sera pas la dernière.

Les Nouveaux Cahiers du socialisme consacrent leur numéro automnal à l’école publique. L’idéologie du « tout au marché » et la recherche effrénée de productivité ont graduellement gangrené les systèmes d’éducation et aggravé les inégalités que l’école publique, après la période d’après-guerre, était censée compenser.

Les Nouveaux Cahiers du socialisme proposent dans ce numéro un dossier sur l’immigration. Celle-ci constitue un vaste enjeu sur tous les terrains, peut-être surtout sur le terrain politique. Pour les partis de centre droit, l’immigration est perçue comme un problème qui menace la société et l’identité québécoise.

Les multiples crises actuelles (sanitaire, climatique, environnementale, sociale, militaire) changent tout. Une transition est nécessaire, mais elle ne pourra pas être qu’écologique. C’est à mieux comprendre et à discuter ce parcours difficile et parsemé d’obstacles que ce grand dossier sur l’écosocialisme des Nouveaux Cahiers du socialisme se consacre.

Ce numéro de Nouveau Projet propose des « Nouvelles de l’étranger ». De la jungle amazonienne aux zones de conflits syriens, en passant par les rues de Dakar, le magazine a pris le temps de recueillir quelques histoires, pas tant pour débusquer la nouvelle que pour prendre des nouvelles

Dans ce numéro, Nouveau Projet s’arrête sur les dix années que nous venons de traverser. Un dossier protéiforme, riche et éclaté en 465 idées, personnes, inventions, combats et prises de conscience qui ont fait les années 2010.

Tandis que les forces de notre époque semblent nous condamner à la superficialité, Nouveau Projet s’immerge pour faire contrepoids à nos vies qui flottent à la surface de l’instant. Ce numéro propose des plongées longue durée dont personne ne sortira indemne.

Ce numéro de Nouveau Projet est consacré à un seul thème : la fin d’un monde. Explorez la fin du voyage, des inégalités, du militantisme traditionnel, de la ville instrumentale, de l’apathie, du déni, de l’impuissance, du capitalisme fossile, de l’hiver, du self-care, du pétrole, d’un cycle.

« Rien ne nous a davantage manqué, depuis un an, que les bras des gens que nous aimons. » Nouveau Projet cherche à reproduire un peu de cette tendresse dans son numéro arrivé à l’orée d’un printemps que l’on souhaite en forme de lumière au bout du tunnel.

La vie moderne est caractérisée par la variété des options qu’elle nous offre. Nouveau Projet propose neuf regards croisés sur les choix : ceux que nous faisons, ceux qu’on nous impose, ceux que nous devrions faire et ceux que nous évitons, pour toutes les raisons du monde.