Les numéros

En couverture de Séquences no. 343, vous trouverez le film estival par excellence : Deux femmes en or, nouveau long métrage de la cinéaste québécoise Chloé Robichaud. Un dossier complet, incluant une critique du film, une entrevue avec la cinéaste et avec la scénariste Catherine Léger, une analyse comparative du film de Robichaud et du Deux femmes en or de Claude Fournier, sorti en 1970, et le cahier d’étude.

Voici le numéro printanier (342) de Séquences – La revue de cinéma ! En couverture, vous trouverez Le plein potentiel, deuxième long métrage de la cinéaste montréalaise, originaire de Rivière-du-Loup, Annie St-Pierre. Un dossier complet, incluant critique, entrevue avec la cinéaste et cahier d’étude.

Ça part en force avec des récits inédits de 13 bédéistes à (re)découvrir dans ce numéro estival de Planches.

Solaris 237 (été 2025) est le premier numéro de la 51^e année de la revue. 

Ce bouquet d'été des Cahiers de lecture aborde les enjeux autour d'Hydro-Québec, de la démocratie, du Web, du développement minier et nous tire des enseignements d'événements remis en contexte.

Zone occupée no 29 explore l’écoumène : ce tissage subtil entre les territoires et les récits, entre les gestes humains et les forces naturelles.

Au cœur du volume 42 numéro 3 de Ciné-Bulles : un dossier léger, mais traité avec beaucoup de sérieux : « Films d’été, péchés avoués ».

L'Inconvénient présente un dossier sur les nombreuses ressources et possibilités qu'offre le genre de l'essai littéraire.

Ce numéro estival de Ciné-Bulles propose un contenu riche et varié. Au cœur de ce numéro, un hommage à David Lynch.

Le numéro 104 de la revue À bâbord ! brosse un portrait de l’Acadie d’aujourd’hui, qui se définit par sa multiplicité et sa contemporanéité au-delà des marqueurs identitaires classiques.

Miam vous prépare un numéro à savourer dehors, entre deux éclats de rire et une poignée de fruits frais. On plonge dans l’univers de la cerise griotte !

Ce numéro estival de Brins d’éternité explore la question de l'originalité en littérature. Face au défi d’avoir « déjà tout dit », une réflexion fascinante s’impose : est-ce la nouveauté du récit qui compte, ou l'art de le raconter ?