
Prix d'excellence de la SODEP 2024
C'est avec joie que la Société de développement des périodiques culturels québécois (SODEP) dévoile les finalistes de ses Prix d’excellence 2024 ! Parcourez cette page web pour découvrir les œuvres, les personnes et les revues qui se sont distinguées.
Présenter
le projet
Depuis plus de 13 ans, les Prix d’excellence de la SODEP récompensent les collaborateurs et les collaboratrices dont le travail a contribué, de manière exceptionnelle, à la qualité des revues culturelles d’ici et à l’essor du milieu des périodiques.
Tous les dossiers de candidature ont été évalués par un jury de six personnes dont les métiers s’inscrivent dans les activités professionnelles qu’implique le milieu des revues culturelles.
Les personnes en lice pour un prix seront honorées lors d'un Gala de remise ouvert au public, où les noms des personnes lauréates seront également révélés. Cet événement, présenté par Copibec – Société québécoise de gestion collective de droits de reproduction – aura lieu le 12 juin 2024 à 19h00 (les portes ouvriront à 18h30) au Ausgang Plaza, situé au 6524 rue St-Hubert, H2S 2M3, à Montréal. L'animation de la soirée sera assurée par Catherine Ethier, chroniqueuse et autrice.
Article de fond ou reportage
« Les archéologues du son »
« Carillons d’églises, ronrons de moteurs d’avions, cris d’enfants, chants d’oiseaux, bruits de la ville : la palette de sons qui colore notre quotidien est infinie. Or, selon le professeur en arts visuels et médiatiques à l’université du Québec à Montréal Mario Côté, ‘’«
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« Faire de l'art avec de l'arsenic »
« Deux grandes cheminées en béton s’élèvent et crachotent une fumée jaunâtre au-dessus d’énormes tuyaux de métal entortillés, de petits bâtiments empilés les uns par-dessus les autres, ceinturés par un chemin de fer qui apporte le minerai. La fonderie Horne domine la ville de Rouyn-
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« Les boîtes noires »
« Il y a les histoires que l’on se raconte et qui recouvrent celles que l’on ne se raconte pas. À Montréal, nous avons presque tout oublié du sida. Pourtant, des centaines de personnes en sont mortes dans les ailes des hôpitaux où on les avait isolées des autres patient·es, mais, à l’
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Portrait ou entrevue
« La patience de la femme-corbeau. Rencontre avec Eruoma Awashish »
« C’est un monde qu’on entrevoit, et auquel on arrive par le dehors. Les œuvres d’Eruoma Awashish nous appellent tout en exigeant une distance – c’est une leçon douce, une manière de réapprendre à vivre dans l’équilibre du cercle, équilibre qui, en atikamekw nehiromowin, tient en
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« J'aurai l'esprit du doute jusqu'à la fin. Entretien avec Madeleine Gagnon »
« Madeleine Gagnon nous reçoit dans son petit appartement au vingt-troisième étage d’une tour d’habitation du centre-ville de Montréal, lors d’une accalmie automnale de la pandémie de COVID-19. Au moment de nous asseoir, l’un de nous deux rencontre un obstacle en reculant sur sa chaise
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« Dans l’atelier de Sara A.Tremblay »
« L’atelier de Sara A. Tremblay est à la fois un jardin de fleurs, un potager, un champ d’herbes sauvages, un mur de grande et une maison centenaire à partir desquels l'artiste met en scène de superbes natures mortes photographiques. Des fleurs séchées ou fraichement coupées côtoient des
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Essai, analyse et théorie

« Terre rouge : les archives haptiques de Mallory Lowe Mpoka »
« Dans les hautes terres de cette région au sol rouge, le long des reliefs de la ligne volcanique qui part de l’océan Atlantique, se trouve Bandjoun Station. Le projet culturel et artistique fondé en 2013 par l’artiste camerounais Barthélémy Toguo a façonné de profonds liens entre les co
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« Un objet de rêve pour la sociologie »
« J’ai commencé à m’intéresser à la question du rêve – un sujet presque totalement absent en sociologie – il y a environ vingt-cinq ans, pour des raisons à la fois de hasard et de nécessité. Cela relève de la logique qu’une expression comme « de fil en aiguille » traduit assez
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« Asexualité anticapitaliste? Petit portrait d'une jouissance en jachère »
« ‘’OK, mais si t’es asexuelle, je comprends pas pourquoi t’as besoin d’aller voir ailleurs.’’ La phrase, c’est mon ancienne amoureuse qui l’énonce comme un reproche à peine voilé (à ce moment de l’histoire, c’est encore mon amoureuse). Elle n’a pas tort. Je reprends :
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Article de vulgarisation

« Pourquoi aime-t-on être surveillé? Notes sur la société algorithmique de l'hypervisibilité »
« Tout le monde est surveillé, et tout le monde s’en fout. Les plateformes numériques carburent à l’extraction des données personnelles, à la surveillance des vies intimes et à la prédiction des comportements, et personne ne s’émeut de cet état singulier des choses. Cela apparaît no
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« Le rêve de la maîtrise du vivant. Entretien avec Céline Lafontaine »
« Vous avez mené une recherche ethnographique dans une start-up française de bio-impression qui tente ‘’d’imprimer’’ de la matière vivante comme de la peau, et peut-être même un jour des tissus. Vous racontez dans votre dernier livre, Bio-objets, que vous avez été frappée par le d
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« Et s'il y avait trop d'emplois? »
« C’est peut-être parce que je cherchais à présenter une perspective nuancée sur la mal nommée ‘’pénurie de main-d’œuvre’’ – ou peut-être simplement parce que je suis tombée sur cet article quelques jours avant l’Halloween –, mais il m’a semblé que le titre que proposa
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Recension critique
« Shift, une rétrospective critique »
« Ne rien produire – sinon le trouble. Ne rien exposer. Voilà ce sur quoi s’échine l’artiste conceptuel Joshua Schwebel depuis plus d’une dizaine d’années. Sa démarche contextuelle, qui s’inscrit dans le sillage de la critique institutionnelle, met en lumière les modes opératoires
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« Combattre en douceur. Louise Dupré, Exercices de joie »
« Avec la parution de son quinzième livre de poésie, Louise Dupré clôt un cycle. Le triptyque amorcé en 2010 avec Plus haut que les flammes et poursuivi avec La main hantée en 2016 (tous deux aux Éditions du Noroît) trouve ici son aboutissement avec Exercices de joie. L’ensemble est d’u
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« Chien blanc »
« Pour reprendre les multiples analogies canines qu’utilise l’auteur, Chien blanc n’est pas une œuvre bien dressée, c’est un livre qui mord... tout le monde, incluant son créateur. À l’inverse, le film d’Anaïs Barbeau-Lavalette, qui prend pourtant le parti d’une fidélité accrue
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Création littéraire

« Nœud, sœur, cœur »
« Chère amie,
Je voudrais t’écrire une déclaration d’amour quelque peu dangereuse. Un éloge aux grands liens qui, avec la durée, sont mis à l’épreuve – j’hésite à écrire : nous mettent à l’épreuve.
J’ai commencé à explorer notre amitié sur cette page alors
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« Le Guide Michelin des urgences »
« À Buckingham c’était mon bled
Quand le sol se dérobe
C’est toujours bien
Une cousine éloignée
Qui te sert tes pills
Jamais proche de Noël
Elle avait le temps
D’oublier mes sagas
Quatre étoiles »
« Qui replantera l'olivier? »
« Il y a plusieurs façons de pratiquer le tarbet. Nana Feroudja explique à ma mère les subtilités du rituel. Fais-tes tous, je veux la protéger au maximum. Le premier rite sera pour éloigner les hommes qu’elle désirera. Toujours vêtue d’une robe fuchsia, elle nous emmène dans une pièc
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Création visuelle

« Les métiers du cinéma à l’écran »
Le dossier de ce numéro de 24 images porte sur les multiples façons dont les films ont représenté les métiers du cinéma.
Afin de rendre hommage aux métiers qui demeurent souvent dans l’ombre, la revue a demandé à Samuel Cantin de proposer une illustration de couvertur
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« Érèbe »
Pour ce numéro, l’artiste a développé un parfum qu’il souhaitait rendre accessible aux lecteur·trice·s afin qu’iels aient la possibilité de vivre une expérience sensorielle en complément aux réflexions théoriques concernant l’olfaction. Ainsi, des fioles contenant un échantillon d
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« Sunday School »
À partir des procédés du tissage, Michaëlle Sergile réécrit les histoires des communautés noires ainsi que celles des femmes. La recherche-création de l’artiste, actuellement en cours, exacerbe sa volonté de légitimer les récits méconnus, pour éviter qu’ils ne tombent dans l’oubli
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Page couverture

« Sans titre »
Cette œuvre vient clore avec brio la résidence d’Eruoma proposée par la revue en s’inscrivant comme un écho solidaire à la citation thème « Nous pouvons enfin laver nos blessures » proposée par Laura Doyle Péan et Alex Noël tirée de femme-rivière de Katherena Vermette pour
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« Arkadi Lavoie Lachapelle dans son atelier à Gham & Dafe»
La couverture du no 272 est le fruit d'une collaboration entre l’artiste arkadi lavoie lachapelle, la photographe Prune Paycha et l’agence Gauthier Design, dans le cadre du dossier « Transmissions ». Avec arkadi lavoie lachapelle, rencontré-e dans son atelier, nous plongeons dans un univers
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« L*(avec Michelle Lacombe) »
Cette couverture présente une œuvre performative de l’artiste Marie-Michelle Deschamps, réalisée en collaboration avec Michelle Lacombe dans le cadre d’un projet sur les langues et la traduction chez Louis Wolfson. L’œuvre montre en gros plan une bouche dont la langue, sertie d’unroulea
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Pages intérieures

« Eau/Water »
Pour ce dossier consacré à l’eau, les graphistes ont opté pour un visuel à la fois poétique et littéral, répondant ainsi à une thématique très connotée tant au niveau symbolique qu’environnemental. La signature graphique bleutée des pages titres emprunte le motif de l’onde vibratoi
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« Frayer une troisième voie »
C’est la voix d’un territoire multiple que célèbre le portfolio de Nadine Faraj avec ses aquarelles aux eaux vivantes et éclatées. Un territoire où le corps et le désir s’incarnent et se multiplient. Marie-Eve Beaupré, historienne de l’art, propose une riche présentation d’un choix
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« Virginia Pesemapeo Bordeleau | Soeurs autochtones disparues »
Comme le travail de la peintre, sculptrice, poète et romancière autochtone crie Virginia Pesemapeo Bordeleau porte beaucoup sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, le directeur artistique Alexandre Vanasse a pensé photographier des endroits où des agressions auraient
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Dossier
« Anonyme. Sommes-nous les mêmes sans nom? »
Le numéro “Anonyme” de Liberté est une expérience de création à plusieurs niveaux, que nous souhaitons faire valoir pour son humour, son panache, son engagement et sa cohérence. L'hypothèse de l'anonymat y est explorée comme thématique, mais aussi comme stratégie de prise de
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« Par-delà l'effondrement »
« À l’ère de l’anthropocène, c’est un fait indéniable que notre monde est confronté à de multiples crises – climatique, écologique, de la biodiversité, etc. – d’une gravité extrême. Mais la notion d’effondrement proposée par le courant de la collapsologie, relati
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« Pratiques »
« Que pratiquent les artistes, si ce n’est pas une discipline?
Partant du désir de créer un vocabulaire qui permettrait de décloisonner l’interprétation de l’art, ce dossier rassemble des auteur-rices et des artistes qui réfléchissent à ce que signifient des pratiques in
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Voix de la relève Télé-Québec

« Le poids du désordre »
« Espaces « sans bruit », « sans écrans », « sans ondes », on retrouve partout des lieux qui proposent une expérience « sans », éloignée du trop-plein du capitalisme. Ces lounges situés dans les aéroports ou encore dans certains salons de thé chics des grandes villes sont desti
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« généalogies de la fuite »
« enfant, ma grand-mère me racontait toujours la même histoire : une petite fille
(la sœur de trois ans de mon grand-père)
saute sur le divan
tombe
se casse le cou
la mère ne peut plus s'occuperdes enfants seule et se voit forcée de les
envoyer ailleu
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« Le soleil pigmente le ciel avec une rage que j'absorbe la bouche ouverte »
« lorsque l’aurore
s’assoit sur mes paupières
son ombre
se déploie en moi
rétrécissant chaque espace
elle bouscule et s’impose agrège les fragments de pierres qui érigent
la citadelle de l’inertie
à la pointe de mes pieds immobile&nbs
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Revue de l'année


ESPACE
Les trois numéros de la revue ESPACE art actuel publiés en 2023 se sont attardés à lever le voile sur des thématiques souvent occultées dans le domaine des arts visuels afin de perturber subtilement nos assises traditionnelles. À l’hiver 2023, la revue a mis sur pied un dossier sur l
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MŒBIUS
Fondée en 1977, la revue Mœbius s'inscrit dans le dynamisme des revues littéraires québécoises d'expression française en devenant rapidement un lieu d'expérimentation pour les auteurs et autrices. Son mandat fondamental étant de constituer un creuset pour la littérature actuelle et
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SPIRALE
Nouveau format, nouvelle maquette graphique, nouveau site Web, nouvelle périodicité, nouveaux partenariats : en 2023, Spirale est entrée dans une phase de changements importants qui lui ont permis de mieux se repositionner dans l’écologie des revues culturelles. En réponse aux enjeux hum
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Jury

Rachel Bédard
Rachel Bédard est éditrice chez Remue-ménage depuis 1980. Elle a reçu en 2019 le prix Fleury-Mesplet décerné au Salon du livre de Montréal pour sa contribution à l’édition au Québec.

Juliette Bernatchez
Diplômée d’une maîtrise en études littéraires, Juliette Bernatchez est professionnelle de recherche, travailleuse culturelle et autrice. Depuis 2018, elle accumule les contrats dans divers établissements et organismes culturels, en plus de travailler sur ses créations. En tant qu’autrice, on a pu la voir et l’entendre performer à plusieurs reprises et on peut la lire en revues. En 2022-2023, elle bénéficie d’une bourse de création du Conseil des arts et lettres du Québec, ainsi que de deux résidences d’écriture : Villes de littérature Unesco (Québec-Norwich) et Maison Poème (Bruxelles). Elle a également été poète en lice pour le Prix de la poésie Radio-Canada 2023.

Véronique Doucet
Véronique Doucet vit à Rouyn-Noranda (QC). Elle termine actuellement des études au Microprogramme de 2e cycle en pratiques artistiques contemporaines à l’UQAT. Elle est détentrice d’un Baccalauréat ès art (Majeure en arts plastiques, Mineure en arts et sciences à l’Université de Montréal). Elle s’est fait connaître grâce au projet Aldermac : plantation minière, initiateur d’une grande victoire environnementale qui a mené à la restauration d’un site minier abandonné. Ses œuvres et ses performances ont été diffusées dans les centres d’exposition, centres d’artistes et foires d’art contemporaines à travers le Canada, les États-Unis et la France. Elle est également cofondatrice du GÉCO, groupe environnemental axé sur l’action citoyenne. En 2012, elle suit une formation de professeure de yoga et débute l’enseignement des arts visuels au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue. En 2015, elle remporte le prix du CALQ Créatrice de l’année et est finaliste pour le même prix en 2023. Elle a reçu plusieurs bourses de recherche et création depuis 2004, dont une pour l’installation Plafond de verre, qui a ouvert sa rétrospective Femme au front au Musée d’art de Rouyn-Noranda à l’automne 2023.

Romeo Gongora
Romeo Gongora (Canada/Guatemala) est un artiste, professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM et docteur en arts de Goldsmiths, à l’Université de Londres (Royaume-Uni). Depuis 2008, il a réalisé des projets collectifs en interaction avec la sphère sociale, intégrant la politique et la pédagogie dans la pratique de la performance. Récipiendaire de nombreuses bourses, il a collaboré, entre autres, avec le Musée d’art Contemporain de Montréal (Canada), HISK (Belgique), Centre of Art Torun (Pologne), Centre Makan (Jordanie) et Leonard&Bina Ellen Gallery (Canada). Il a été récipiendaire des résidences au Rijksakademie van Beeldende Kunsten (Amsterdam, 2007-08), Kunstlerhauss Bethanien (Berlin, 2009) et Acme Studios (UK, 2016).

Mathieu Raby-Labelle
Originaire de Mont-Laurier dans les Hautes-Laurentides. Après ses études en sociologie à l’Université du Québec à Montréal, celui-ci entame des études en développement régional à Rimouski. Passionné de littérature et du livre comme objet, il débute comme libraire à la Coop-UQAM, en 2016; et en 2019, à la librairie l’Alphabet. Il devient responsable des achats en 2020 et prend le relais de la co-direction l’année suivante. Genres littéraires favoris : la littérature québécoise, les essais sociologiques, la poésie, la littérature LGBTQ+, l'œuvre de Pier Paolo Pasolini, la BD et le manga.

Étienne Tremblay-Tardif
Étienne Tremblay-Tardif est artiste et chargé de cours à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Par l’emploi des techniques de reproduction du texte et de l’image, il développe une pratique artistique axée sur la recherche selon des approches issues des nouveaux matérialismes. Il a terminé un diplôme en histoire de l’art et études cinématographiques à l’Université de Montréal (BA 2006) avant d’entreprendre une formation en arts visuels à l’Université Concordia (BFA 2009, MFA 2013). Son travail a fait l’objet de plusieurs expositions individuelles et collectives depuis une dizaine d’années, notamment : Société-écran (Galerie R3, 2024), Notes (Atelier Circulaire, 2021), Soulèvements (Galerie de l’UQAM, 2018), Open Edition (Carleton University Art Gallery, 2017), Monuments aux victimes de la liberté (AXENÉO7, 2015), L’avenir / looking forward (Biennale de Montréal / MACM, 2014), Collision 9 (Parisian Laundry, 2013), Bookworms (Arprim, 2012), Ignition 7 (Galerie Leonard & Bina Ellen, 2011).
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