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Vie des arts présente un dossier « Les sensorialités incarnées de l’art » sur des œuvres qui font appel à notre bagage de savoirs et de sensations qui elles-mêmes peuvent influer sur l’œuvre, son sens et sa réception.

La revue ESPACE consacre le dossier thématique de son numéro d’automne à la transparence. Transparent comme ce que l’on voit, en opposition à l’opacité qui dissimule, voilà ce qui est mis de l’avant dans le travail des artistes iraniennes Shokoofeh Alidousti, Mehraneh Atashi et Shirin Neshat.

Pour son numéro 110, la revue Esse fait place aux imaginaires agricoles et aux relations entre les humains et la terre qui nous mettent au défi de repenser notre compréhension de l’agriculture.

Pour son numéro d’été, la revue Vie des Arts a demandé à ses collaborateurs et collaboratrices de se pencher sur ce moment de suspens qui a caractérisé le printemps 2020 .

Esse plonge dans l'univers onirique dans son numéro 112. Le dossier tient compte de tout ce qui définit le rêve, de l’activité psychique qui se déroule pendant le sommeil à la manifestation des désirs ou des aspirations à l’état de veille, jusqu’à la capacité des rêveuses et des rêveurs à figurer d’autres mondes.  

Pour son édition hivernale, la revue Vie des Arts propose le dossier « Mutations : arts, sciences et technologies » qui questionne la relation soutenue qu’entretiennent l’art, les sciences et les technologies dans le temps.

La revue Esse consacre son numéro à la peinture. Le dossier s’inscrit dans une tentative de susciter des analyses critiques de la pratique picturale, tout en offrant une sélection qui témoigne de la pluralité des approches esthétiques et conceptuelles de cette forme artistique.

La revue Le Sabord vous invite, avec son second numéro d’un diptyque sur le nomadisme et la sédentarité, Ancrages, à interroger le choix de s’ancrer dans un espace plutôt qu’un autre. Auteurs·rices et artistes rendent compte des installations successives en des lieux nouveaux, des ramifications qui forent le sol.

La revue Vie des Arts consacre son dossier thématique de l’automne aux résidences d’artistes. Souvent liées dans nos imaginaires à une retraite créative dans un lieu lointain et isolé, en pleine nature, les résidences d’artistes prennent des formes variées qui n’impliquent pas nécessairement de se couper de la civilisation.

Pour son édition automnale, Vie des arts vous propose le portrait de deux artistes, Sanaz Sohrabi et Stéphanie Auger. Sohrabi vous guide dans sa recherche d'archives sur l'entreprise British Petroleum et Auger vous ouvre les portes de son atelier à Chicoutimi.

La revue Esse s’intéresse dans son numéro aux collectifs. Le dossier se penche sur la problématisation, par le travail collaboratif, des rapports de pouvoir au sein des établissements et des regroupements du milieu des arts, et à son effet sur l’implantation de structures moins hiérarchiques.

Dans son édition printanière, la revue Vie des arts propose un dossier sur l’usage du langage (écrit ou oral) en art actuel. Le texte est tantôt employé comme matériau, tantôt annexé à l’œuvre, enrichissant sa signification ou participant à sa construction.

Pour son numéro 109, la revue Esse explore la thématique de l’eau. Les artistes et les théoriciennes de ce dossier naviguent dans une approche poétique de l’eau, tantôt entre les formes esthétiques et les actions militantes, tantôt dans une pensée analytique imprégnée de métaphore.

Avec son numéro « Rives et affluents », la revue Le Sabord, fondée en 1983 dans la ville portuaire de Trois-Rivières, renoue avec ses origines fluviales. Le numéro invite à se faire insulaire, à arpenter les berges et à franchir, construire des ponts entre territoires et univers.

La revue Inter propose un dossier sur les pratiques actuelles du silence, du son et de l’oralité. Pour reprendre la formule consacrée à 4’33” de John Cage, il est espéré que le dossier fera grand bruit et n’entretiendra pas un dialogue de sourds à propos des pratiques étudiées.

Le visage est-il encore la vérité de la personne, la mise à nu de son être ? Dans ce numéro de la revue Inter, art actuel, nous examinons le statut du visage dans une société de l'image, comment celui-ci peut devenir un outil de subversion et le canevas d'un nouveau scandale.

Avec ce numéro, la revue Inter a voulu comprendre la démarche d’artistes qui ont renoncé à l’art. Ils ont voulu jeter un éclairage sur les artistes aux productions absentes ou discrètes, qui ont choisi d’œuvrer dans le quotidien ou qui privilégient l’anonymat.

C’est sous le thème «Mélancolie à l'ère de la technique» que la revue Inter, art actuel présente son numéro 142. Ce dossier se présente, entre autres perspectives possibles, comme actualisations de ce thème névralgique de la mélancolie et de certaines interprétations de la gravure de A. Dürer Melencholia I, réalisée (1514) plus de cinq siècles avant l’hégémonie des dispositifs numériques.

Le numéro 273 de Vie des arts propose un dossier qui a pour titre « Pratiques » et qui s’intéresse aux manières dont les artistes interprètent leurs champs d’action.

La revue Zone Occupée se demande dans ce numéro s’il est possible d’imaginer ce qui constitue aujourd’hui la base de l’humain de demain. Qui sommes-nous et que sommes-nous en train de devenir ?

Ciel variable propose un dossier thématique intitulé « La marche du monde ». Les articles et les oeuvres qui le composent s'intéressent aux activités humaines qui ont une incidence sur la vie des individus et des communautés.

Zone Occupée propose un numéro sur le thème de la proxémie. Il rassemble des textes qui interrogent « ces distances entre nous qui créent parfois des éloignements ou des abîmes, mais aussi des proximités et voire des contingences. »

La revue Ciel variable fait paraitre un 124e numéro dirigé par Jacques Doyon ayant pour titre «Des images pour mieux voir». Les images de ce dossier troublent, retiennent l’attention, intensifient le regard. Ce qui est donné à voir est clair et précis, mais il y subsiste quelque chose qui incite à regarder plus attentivement. 

Quel rôle joue aujourd’hui la déclaration de positions esthétiques et politiques ? Qu’est devenue la pratique du manifeste au XXIe siècle ? Il s’agit dans le numéro d’automne de la revue Inter d’interroger le manifeste comme forme d’expression qui investit le langage en tant qu’arme de changement, qui n’a pas perdu confiance dans la force d’intervention des mots.

Le dossier du 128e numéro de Ciel variable porte sur le dépaysement, avec les travaux récents de Geoffrey James, Louie Palu et Jinyoung Kim : trois artistes qui explorent des lieux et des réalités qui font partie de notre identité tout en nous étant en partie étrangers et ainsi un peu déstabilisants. La section Actualité propose une dizaine de recensions d’expositions et de publications récentes. On trouvera enfin un entretien avec Éric Desmarais sur les 50 ans du centre Sporobole à Sherbrooke.

Ce dossier de Ciel variable présente trois expositions qui illustrent comment la photographie peut contribuer à façonner une vision critique du monde.

Ce numéro d’Espace art actuel invite à des analyses de pratiques artistiques récentes qui prennent en considération l’exploration élargie de la chair en tant qu’impulsion esthétique, expérientielle ou conceptuelle.

C’est Julie Rocheleau qui illustre la couverture de ce numéro bien spécial de la revue Planches avec un rappel anniversaire pour le moins audacieux. 10 ans, 20 numéros, ça se fête !

Pour le dossier Résilience, Esse propose de célébrer ce qui dans l’art actuel nous apprend à persévérer malgré les refus, à se relever après être tombé·e, à passer au travers ses désillusions.

Ce premier hors-série dans l’histoire de la revue Planches reprend intégralement les 20 histoires parues dans le magazine suisse allemand Strapazin en 2020, un numéro qui faisait la part belle aux artistes du Québec.

Le numéro 114 de la revue Esse vous invite à entrer dans les abstractions, de rétablir le dialogue entre le contenu et la forme, entre le politique et le poétique, pour nous entretenir avec des œuvres qui évoquent la réalité autrement.

Avec plus de cinquante ans de recul, la revue Vie des arts souhaite par le dossier thématique de ce numéro, saisir l’impact et reconnaître les généalogies de collaborations qui se sont formées selon la tradition de l'autogestion artistique.

Ciel variable rassemble ici de grands portfolios d’œuvres récentes autour du thème « Masses et monuments ». Ce dossier s'intéresse à l’action collective dans nos sociétés, à ses guerres et ses conflits permanents, à la masse d’images médiatiques qui tissent notre rapport au monde.

Dans ce numéro Ciel variable vous invite à découvrir trois figures d’artistes, trois positionnements esthétiques qui se rejoignent dans une certaine distanciation ironique, soit Steve Giasson et ses performances invisibles, Vincent Lafrance et sa websérie autofilmée et les photographies de Franck Gérard.

Points de suture, suturer : ce qui guérit après avoir été blessé. La revue Le Sabord, fil à la main, aborde le thème du soin. Auteurs·rices et artistes montrent comment l’on peut rapiécer la chair, panser ses entailles, témoignent de la poésie de la suture.

Zone Occupée a confié la direction du numéro « Résurgence » à Marie-Andrée Gill, qui s'est entourée pour l'occasion des artistes Eruoma Awashish, Caroline Monnet, Kim O'Bomsawin et Emilie Monnet. Au fil des pages, elles déploient les savoirs et les philosophies autochtones par l'intermédiaire de l'art.

La revue ESPACE s’intéresse à la dictature. La dictature politique, en opposition à la démocratie, mais aussi celle qui s’incarne dans les sociétés néolibérales. « Devant ces diktats du marché auxquels nous consentons, souvent aveuglément, certains discours critiques que promeuvent les artistes se révèlent éclairants. » (André-Louis Paré)

La revue Esse s’intéresse aux nouveaux matérialismes. Le dossier réfléchit à la reconfiguration de la matière à l’aune de pratiques sociales, politiques, artistiques et scientifiques qui ne sont plus enfermées dans le spectre humain, mais relèvent de la « vie » tout entière, y compris le « non-vivant».

Ce printemps, la revue Inter explore « La disparition de l’exception artistique ». « […] La société d’aujourd’hui peut-elle se passer des innovations et des créations d’individus qui ne seraient pas irréprochables ? Il semble que oui. Il n’y a plus d’exception pour le talent, encore moins pour le génie.

L’édition automnale de la revue Vie des Arts propose le dossier thématique  RE : TR : manipulations et usages fragmentaires d’Internet  qui vise à décortiquer quelques-uns des rouages du Web, et se penche sur l’effet qu’ils ont sur l’art et que l’art a sur eux.

Ce printemps, Vie des Arts se métamorphose ! Logo, maquettes, rubriques, papier, la revue fait peau neuve, mais conserve sa mission d’information et d’éducation qui consiste à donner des clés de lecture pour favoriser une compréhension et une appréciation globale des œuvres actuelles et contemporaines.

C’est l’été chez Vie des arts, et qui dit été, dit retour de la rubrique Création et du cahier Les détours de l’été, le guide estival indispensable pour découvrir à travers tout le Québec les expositions des centres d'artiste, des galeries d'art et des musées !

Dans cette édition de Ciel variable, découvrez un portfolio sur le projet de Chloé Beaulac, portant sur les paysages des Laurentides, dans le dossier thématique « Paysages miroirs ». Retrouvez-y aussi Résonance des silences par Alain Lefort dans un dossier qui invite à « se projeter dans l’univers environnant ».

Ciel variable présente trois artistes autochtones qui se distinguent par le choix de la photographie comme véhicule central de leur démarche d’affirmation de leur culture. Longtemps opprimées au Canada, des voix fortes et fières s’élèvent désormais. Ensemble, elles proposent une vision renouvelée de l’identité des Premiers Peuples.

Cette édition de Vie des Arts s’axe autour des « Visites » qui se sont organisées dans la foulée des réouvertures des salles de diffusion. Ce numéro se concentre sur les visites d’expositions : celles de Julie Ouellet, Adad Hannah, Yann Pocreau, Kapwani Kiwanga, Raphaëlle de Groot et plusieurs autres.

Le dossier « Climatologie » de la revue ESPACE donne la parole à des auteur.trice.s qui passent sous la loupe des œuvres mettant en scène les conséquences des dérèglements climatiques, des œuvres immersives éveillant le sens critique, incitant à la participation citoyenne ou au changement de nos modes de vie.

Le numéro « Révolte » de la revue Le Sabord comprend dix textes, dont celui gagnant du prix Clément-Marchand 2019, récompense qui célèbre le talent littéraire de la relève en Mauricie et au Centre-du-Québec. Des voix et des regards variés lancent l’appel aux barricades et au renversement.

Le numéro printanier de la revue Vie des Arts propose une lecture actuelle des pratiques artistiques dans lesquelles resurgissent des interrogations et des figures millénaires : le vampire, le trickster, les origines de l’humanité, les limites du corps et de l’esprit, et les mécanismes visuels qui les sous-tendent tous.

La revue Esse s’intéresse dans ce dossier à la thématique du conflit. Quels discours émergents des pratiques artistiques traitent des conflits? Existe-t-il une posture narrative propre aux œuvres et expositions qui s’engagent dans le récit, la critique ou l’analyse des conflits? Tous des questions auxquelles ce numéro propose de réfléchir.

Vie des arts renoue cet automne avec sa rubrique thématique. Intitulée Incantations, le no. 276 sonde la part de réenchantement qui émane de nos rituels quotidiens et de nos pratiques de l'intériorité. Nouveauté : en plus de ses nombreux textes fouillés, la rubrique thématique accueille désormais un nouveau format de propositions épousant davantage le modèle de la recherche-création.

Le numéro estival de Vie des arts troque l’habituel dossier thématique pour la rubrique « Création », dans laquelle des artistes sont invité·e·s à réaliser une série de quatre œuvres spécialement pour la revue. Ce no. 275 est aussi accompagné du maintenant classique cahier « Les détours de l'été », qui propose un itinéraire des expositions et événements artistiques à voir au Québec pendant la belle saison.

Ayant pour thème « Le deuil », le dossier du no 138 de la revue ESPACE art actuel explore diverses façons qu’ont les artistes de rendre compte de cette douleur. En quoi l’art actuel est-il en mesure de témoigner le fait que le deuil est une pratique qui imprègne les réalités sociales et émotionnelles de groupes d’individus ? L’art peut-il nous réapprendre à célébrer le deuil ?

Le numéro 113 de la revue Esse porte sur l'analyse du plastique dans le champ de l'art soulève de nombreux dilemmes environnementaux. Loin de faire l'éloge du plastique, mais sans pour autant en nier l'utilité, ce dossier s'intéresse à nos manières de cohabiter avec la matière synthétique, tantôt pour en évaluer les conséquences et participer à la recherche de solutions de rechange, tantôt pour revendiquer une parenté avec ce qui a fait la gloire du matériau : sa plasticité, laquelle exprime à la fois le pouvoir de recevoir et de donner la forme.