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Dans un contexte où les pratiques artistiques ne cessent de déborder le champ des arts pour s’approprier des codes, des gestes, des dispositifs issus des autres sphères sociales et culturelles, Esse tente de mieux comprendre ce que les différentes formes d’appropriation nous révèlent de la création actuelle.

Le numéro 127 du Sabord porte sur la « sororité ». Les créateur·rice·s de ce numéro ont tenté de répondre à la question, « Qu’est-ce que des sœurs ? ».

La revue Esse consacre son numéro à la peinture. Le dossier s’inscrit dans une tentative de susciter des analyses critiques de la pratique picturale, tout en offrant une sélection qui témoigne de la pluralité des approches esthétiques et conceptuelles de cette forme artistique.

Ce premier hors-série dans l’histoire de la revue Planches reprend intégralement les 20 histoires parues dans le magazine suisse allemand Strapazin en 2020, un numéro qui faisait la part belle aux artistes du Québec.

« Par l’imitation, nous ne répétons pas, nous assimilons un imaginaire partagé à travers la création. » Zone occupée vous livre divers essais explorant les zones grises entre mimétisme et inspiration en s’appuyant sur un corpus d’œuvres et d’artistes régionaux.

« Quel rapport entretenons-nous désormais avec le matériel ? Que restera-t-il de nous lorsque tout sera sur le cloud ? ». Zone occupée propose un dossier sur cet incroyable besoin de l'humain d’accumuler du matériel dans un monde où tout se dématérialise.

Le dossier du 127e numéro de Ciel variable porte sur les « Sœurs, combattantes, reines » avec les travaux de Caroline Monnet, Zaynê Akyol et Suzy Lake. Les trois artistes ici réunies honorent la lutte des femmes contre un système patriarcal toujours en cours.

Dans ce numéro 26, la revue Zone Occupée vous propose un dossier thématique sur la morale. Les divers essais au sommaire explorent différents questionnements que suscitent les définitions multiples de ce thème assez large en s’appuyant sur un corpus d’œuvres et d’artistes régionaux.

La revueZone Occupée présente un numéro sous le thème Gastronomie / Pourriture. Sujet de société, d'économie et de politique, la nourriture est abordée dans toutes ses formes et stades transformation.

Zone Occupée propose un numéro sur le thème de la proxémie. Il rassemble des textes qui interrogent « ces distances entre nous qui créent parfois des éloignements ou des abîmes, mais aussi des proximités et voire des contingences. »

Zone Occupée consacre un dossier à la notion de survie. On y traite de résilience mais aussi de créativité, des façons d’aborder l’inabordable et de comprendre l’incompréhensible, des avenues par lesquelles l’art et la culture nous permettent d’exister et de surmonter l’oubli du temps.

Dans ce premier volet d'un dyptique consacré à la Nature au sens écologique du terme, la revue Zone Occupée se penche sur la notion de ressource. Les contributions interrogent cette tendance de l'humain à voir la nature comme une chose à contrôler et exploiter, quadriller et utiliser.

Zone occupée no 29 explore l’écoumène : ce tissage subtil entre les territoires et les récits, entre les gestes humains et les forces naturelles.

À travers les idées novatrices des grands penseurs actuels, Zone occupée no 27 explore la thématique de l'investigation, repoussant les frontières traditionnelles entre nature et culture, matériau et virtualité.

La revue Zone Occupée se demande dans ce numéro s’il est possible d’imaginer ce qui constitue aujourd’hui la base de l’humain de demain. Qui sommes-nous et que sommes-nous en train de devenir ?

Inter, art actuel 145 s’intéresse à la dimension matérielle, mais aussi sociopolitique, de notre rapport au monde, notamment à travers les pratiques de détournement de l’usage prescrit des choses, des espaces ou des idées. 

Zone occupée no 28 explore comment la fluidité se manifeste dans les formes, les idées, les mouvements et les émotions, à la lumière des écrits de Braidotti et Grosz sur la subjectivité fluide et la corporealité.

Dans le numéro 25 de Zone occupée, intitulé « Mécanique vs Système », nous désirons explorer l’arrière-scène de la création et en comprendre les rouages et mécanismes, mais également les rapports qu’entretiennent les artistes avec les cycles, les redondances, la systémique ou la cybernétique.

Zone Occupée a confié la direction du numéro « Résurgence » à Marie-Andrée Gill, qui s'est entourée pour l'occasion des artistes Eruoma Awashish, Caroline Monnet, Kim O'Bomsawin et Emilie Monnet. Au fil des pages, elles déploient les savoirs et les philosophies autochtones par l'intermédiaire de l'art.

Dans le numéro 144 d’Inter, des perches ont été tendues par Alain-Martin Richard auprès de différents artistes. Il s’agit dans tous les cas d’inventer des stratégies et de tester des outils pour s’inscrire dans le théâtre du monde en y injectant des manipulations inouïes. 

Cet hiver avec la revue Planches, cueillez un cœur (Sara Pruneau Bélanger), puis rencontrez un individu mystérieux (Jeremy Perrodeau), un dinosaure dans un lieu incongru (Maude Robert), des Bourreaux (Fabz), un béluga (Nunumi) et une glacière très solide (Yves Martel et Nick Butch).

Ce numéro de la revue Inter propose un dossier axé sur la métamorphose et la fluidité. Vous y trouverez une liste d’artistes et de pratiques diversifié·es, un corpus éclectique d’attitudes et d’inscriptions, une incursion dans l’univers poétique, des actions performatives de femmes artistes dénonçant la violence faite aux femmes, etc.

Au menu du quinzième numéro de la revue Planches : un asticot en mal de vivre (Caroline Soucy), [...] les joies de la dépression (Jeik Dion), une aventure de la femme-fusée (Jipi Perreault) et une livraison de fromage intergalactique (Laurence Dea Dionne).

Des univers aussi uniques que multiples se côtoient au sein du seizième numéro de la revue Planches. D’abord, une jeune femme se bat contre des centaures dans une Miami méconnaissable. Puis, un stunt publicitaire implique beaucoup de perroquets. Et plus encore !

Ce coffret contient une sélection de 4 revues culturelles québécoises consacrées aux arts visuels. Retrouvez un exemplaire des revues Ciel variable, Espace art actuel, Inter art actuel et Vie des arts.

Ciel variable propose un dossier thématique intitulé « La marche du monde ». Les articles et les oeuvres qui le composent s'intéressent aux activités humaines qui ont une incidence sur la vie des individus et des communautés.

Le dossier du 128e numéro de Ciel variable porte sur le dépaysement, avec les travaux récents de Geoffrey James, Louie Palu et Jinyoung Kim : trois artistes qui explorent des lieux et des réalités qui font partie de notre identité tout en nous étant en partie étrangers et ainsi un peu déstabilisants. La section Actualité propose une dizaine de recensions d’expositions et de publications récentes. On trouvera enfin un entretien avec Éric Desmarais sur les 50 ans du centre Sporobole à Sherbrooke.

Pour son numéro 109, la revue Esse explore la thématique de l’eau. Les artistes et les théoriciennes de ce dossier naviguent dans une approche poétique de l’eau, tantôt entre les formes esthétiques et les actions militantes, tantôt dans une pensée analytique imprégnée de métaphore.

Avec le numéro 13 de la revue Planches, laissez-vous entraîner d’une coupe de cheveux (Sylvain Chabot) à un soir d’Orage (Cy), puis visionnez une Viedéocassette intrigante (Éric Péladeau) avant de vous promener dans La forêt (Richard Vallerand) ou sous La lumière de Mercure (Thomas Gilbert).

Ce printemps, Vie des Arts se métamorphose ! Logo, maquettes, rubriques, papier, la revue fait peau neuve, mais conserve sa mission d’information et d’éducation qui consiste à donner des clés de lecture pour favoriser une compréhension et une appréciation globale des œuvres actuelles et contemporaines.

Dans cette édition de Ciel variable, découvrez un portfolio sur le projet de Chloé Beaulac, portant sur les paysages des Laurentides, dans le dossier thématique « Paysages miroirs ». Retrouvez-y aussi Résonance des silences par Alain Lefort dans un dossier qui invite à « se projeter dans l’univers environnant ».

Le numéro d’hiver de la revue Vie des arts propose un dossier sur l’art textile. Tantôt mis à l’écart pour appuyer une définition stricte de l’art, tantôt valorisés pour leur apport possible aux plans artistiques et culturels, les arts textiles font aujourd’hui l’objet d’un regain d’intérêt.

Ce numéro de la revue ESPACE, art actuel adopte le Point de vue animal. Pour aller au-delà d’un sujet de nature morte sans ressenti ni conscience, ce numéro propose des artistes dont la pratique s’arrime à une compréhension de l’animal comme un « vivant » doté de sa propre conscience.

Ce numéro de la revue ESPACE explore le travail d’artistes naviguant entre création et destruction. Le dossier comprend aussi, entre autres, un texte sur les espaces d’exposition détruits et un sur la démolition de l’œuvre Dialogue avec l’histoire de Jean Pierre Raynaud par la ville de Québec en 2015.

L’art dans les espaces publics prend souvent la forme de programmes institutionnels que l’on regroupe sous le vocable « art public ». Dans une perspective d’ouverture et de renouvellement, le dossier Sortir/Come out de la revue ESPACE est un plaidoyer pour la diversité en matière d’art dans les espaces publics.

La revue Inter propose un dossier sur les pratiques actuelles du silence, du son et de l’oralité. Pour reprendre la formule consacrée à 4’33” de John Cage, il est espéré que le dossier fera grand bruit et n’entretiendra pas un dialogue de sourds à propos des pratiques étudiées.

La revue Vie des Arts consacre son dossier thématique de l’automne aux résidences d’artistes. Souvent liées dans nos imaginaires à une retraite créative dans un lieu lointain et isolé, en pleine nature, les résidences d’artistes prennent des formes variées qui n’impliquent pas nécessairement de se couper de la civilisation.

Le visage est-il encore la vérité de la personne, la mise à nu de son être ? Dans ce numéro de la revue Inter, art actuel, nous examinons le statut du visage dans une société de l'image, comment celui-ci peut devenir un outil de subversion et le canevas d'un nouveau scandale.

Ce sont 12 récits originaux, tous plus variés les uns que les autres, qui se déploient dans ce numéro 21 de Planches. Comme à l'habitude, les plumes établies et émergentes se côtoient pour offrir une panoplie d’histoires qui vous transporteront de la surprise, à l’effroi, de la curiosité, à la légèreté, et bien d’autres émotions encore.

Le numéro estival de Vie des arts troque l’habituel dossier thématique pour la rubrique « Création », dans laquelle des artistes sont invité·e·s à réaliser une série de quatre œuvres spécialement pour la revue. Ce no. 275 est aussi accompagné du maintenant classique cahier « Les détours de l'été », qui propose un itinéraire des expositions et événements artistiques à voir au Québec pendant la belle saison.

Ce dossier de Ciel variable présente trois expositions qui illustrent comment la photographie peut contribuer à façonner une vision critique du monde.

Dans le numéro estival 111, Esse s'intéresse au tourisme et propose un tour guidé de situations et de lieux où l’art et le tourisme se rencontrent.

Le numéro 273 de Vie des arts propose un dossier qui a pour titre « Pratiques » et qui s’intéresse aux manières dont les artistes interprètent leurs champs d’action.

Intitulé « Un vœu pour le MAC », le dossier du numéro 274 de Vie des arts rassemble des réflexions entourant la transformation du Musée d’art contemporain de Montréal.

C’est Julie Rocheleau qui illustre la couverture de ce numéro bien spécial de la revue Planches avec un rappel anniversaire pour le moins audacieux. 10 ans, 20 numéros, ça se fête !

Cet hiver, la revue ESPACE art actuel propose un dossier dirigé par Marie-Pier Boucher, présentant des textes couvrant des pratiques artistiques visant à revoir l’imaginaire spatial sous l’angle féministe.

Le numéro 272 de Vie des arts propose un dossier sur l’héritage et les transmissions culturels à l’œuvre dans l’art contemporain, faisant émerger les filiations entre artistes et générations.

Trois expositions récentes offrent à la revue Ciel variable l’occasion de jeter un regard inusité sur l’acte de collectionner. Découvrez des collections de livres photographiques, de films noirs et d'images mélancoliques.

Les œuvres réunies pour le dossier « Contre-nature » de Ciel variable témoignent toutes d’une « naturalité » traversée de part en part par l’activité́ humaine. Une nature entièrement modelée, circonscrite par les humains.

Ce numéro d’Espace art actuel propose des textes sur diverses productions artistiques mettant en scène une diversité de représentations sexuelles à travers la pornographie alternative, éducative, gaie, lesbienne, dyke, queer, féministe ou amateure.

Ce numéro hivernal de la revue Vie des Arts propose un dossier spécial sur la médiation culturelle. Comment les organismes culturels peuvent-ils favoriser l’accessibilité à leur contenu et l’inclusion de publics hétérogènes ?

La revue Esse explore dans ce centième numéro le thème de la futurité. Le numéro propose de nouvelles avenues pour penser une suite du monde plus positive hors des schèmes traditionnels de l’utopisme critique.

Devant les troubles que connait le 21e siècle, le fait de cultiver l’empathie, cette capacité à éprouver les sentiments et les émotions d’autrui apparait comme un potentiel antidote à l’individualisme exacerbé et aux sirènes du repli sur soi identitaire.

Vie des arts présente un dossier « Les sensorialités incarnées de l’art » sur des œuvres qui font appel à notre bagage de savoirs et de sensations qui elles-mêmes peuvent influer sur l’œuvre, son sens et sa réception.

Au sommaire de ce dix-huitième numéro, retrouvez Les dessous de la création, par Alexandre Fontaine Rousseau, une entrevue avec la bédéiste Julie Doucet, lauréate du Grand Prix du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême en 2022, et plus encore !

Avec ce numéro, la revue Inter a voulu comprendre la démarche d’artistes qui ont renoncé à l’art. Ils ont voulu jeter un éclairage sur les artistes aux productions absentes ou discrètes, qui ont choisi d’œuvrer dans le quotidien ou qui privilégient l’anonymat.

Esse propose un dossier sur la famille telle que réécrite et réinvestie en art actuel. Principal fondement de l’organisation sociale et premier lieu de socialisation, la famille bénéficie d’une attention particulière dans les arts visuels depuis le début de l’histoire de l’art.

Dans son édition printanière, la revue Vie des arts propose un dossier sur l’usage du langage (écrit ou oral) en art actuel. Le texte est tantôt employé comme matériau, tantôt annexé à l’œuvre, enrichissant sa signification ou participant à sa construction.

Dans ce numéro Ciel variable vous invite à découvrir trois figures d’artistes, trois positionnements esthétiques qui se rejoignent dans une certaine distanciation ironique, soit Steve Giasson et ses performances invisibles, Vincent Lafrance et sa websérie autofilmée et les photographies de Franck Gérard.

Vie des arts s’épanouit de l’hiver et glisse vers le printemps avec un numéro thématique tout frais abordant la manière dont se sont liées, et se lient toujours, les disciplines de la musique et des arts dits « visuels » dans l’histoire de l’art.

Terme polysémique, « cellule » provient de « cella », chambre, et de « ula », petit. Est-ce une pièce minuscule dans laquelle se capitonner du monde ? Dans cette édition de la revue Le Sabord, onze auteurs·rices se réunissent pour explorer cette double entité cellulaire, entre biologique et carcéral.

Le numéro printanier de la revue Vie des Arts consacre un dossier aux multiples facettes des marchés de l’art. Ce dossier se veut porteur de pistes de réflexion sur le financement, la consécration et la vente de l’art, mais aussi sur la viabilité des arts.

La revue Ciel variable vous invite à faire avec elle des « Rondes de nuit » au cœur de la nature ou de la ville. Les trois artistes réunis dans ce dossier thématique explorent différentes avenues technologiques pour porter un regard différent sur la vie nocturne.

La revue ESPACE propose un dossier autour de la notion de laboratoire. Imaginaire des laboratoires, et ce que cela induit au sein des institutions culturelles, expérimentation créative à la croisée du monde de l’art et de l’industrie ou rôle de l’imagination en science sont autant d’angles abordés.

Sur le thème « Enchantement », ce numéro de la revue Le Sabord paraît en ces temps de crise où le divertissement se révèle une soupape salutaire, où nous nous surprenons plus qu’à l’habitude à rêver le retour des figures des grands récits ou d’un quelconque deus ex machina.

L’édition automnale de la revue Vie des Arts propose le dossier thématique  RE : TR : manipulations et usages fragmentaires d’Internet  qui vise à décortiquer quelques-uns des rouages du Web, et se penche sur l’effet qu’ils ont sur l’art et que l’art a sur eux.

Ciel variable présente trois artistes autochtones qui se distinguent par le choix de la photographie comme véhicule central de leur démarche d’affirmation de leur culture. Longtemps opprimées au Canada, des voix fortes et fières s’élèvent désormais. Ensemble, elles proposent une vision renouvelée de l’identité des Premiers Peuples.

Valorisant l’aspect sensible de la durée comme terreau fertile à la fois du vécu et de la création, les auteurices regroupé·es dans le dossier « Créer sur le temps long » du numéro d’automne de la revue Vie des arts identifient des démarches artistiques ayant une forte composante temporelle.

Ce numéro de la revue Ciel variable s’articule autour d’expérimentations chromatiques dans la pratique de Yann Pocreau, Jessica Eaton et Bert Danckaert. De la manipulation de la lumière jusqu’au travail sur ses surfaces d’inscription, un espace d’exploration s’ouvre pour la photographie autour des diverses manifestations de la couleur.

Ciel variable propose une livraison autour du thème des trans-identités. Le dossier thématique rassemble les travaux récents des artistes Kent Monkman, JJ Levine et Erasmus Schröter dans des portfolios richement illustrés. Les œuvres sélectionnées abordent différents enjeux liés aux frontières de l’identité sexuelle et à leur transgression.

La revue Esse propose dans ce dossier «Nouveau nouvel âge» de se pencher sur le retour de l’occulte en art, lequel se remarque dans la réappropriation de l’ésotérisme. Les œuvres résultent d’une approche bienveillante et holistique, et sont mues par un désir de justice autant écologique que sociale.

La revue Esse propose un numéro sur le savoir. Comment l’art réinvente-t-il la science, la recherche, l’éducation et leurs institutions ? Quel genre de savoir produit l’artiste ? Les collaborateur·rices tentent d’y répondre en problématisant les rapports entre art et savoir dans les pratiques artistiques et commissariales contemporaines.

Le numéro d’hiver d’Inter propose un dossier sur le hasard en art. Olivier Lamoureux-Lafleur y réfléchit à la relation essentielle qu’entretiennent temps et sérendipité. Patrice Loubier analyse la trame urbaine tissée par les œuvres du street art en mettant en relief la relation entre espace et hasard.

La revue Le Sabord vous invite, avec son second numéro d’un diptyque sur le nomadisme et la sédentarité, Ancrages, à interroger le choix de s’ancrer dans un espace plutôt qu’un autre. Auteurs·rices et artistes rendent compte des installations successives en des lieux nouveaux, des ramifications qui forent le sol.

Espace propose un numéro axé sur la neurodiversité. À partir d’études de cas, d’entretiens ou de témoignages, le numéro met de l’avant l’aspect dynamique de la neurodivergence dans le domaine de la création, que ce soit dans le cadre de l’art-thérapie ou dans la production d’œuvres d’art actuel.

Après un hiatus, la revue Planches est de retour ! Au sommaire de ce dix-septième numéro, retrouvez Aventurausore de Julien Paré Sorel par Alexandre Fontaine-Rousseau dans la rubrique « Les dessous de la création », la rubrique « Racines » par Michel Viau, Shenzhen de Guy Delisle relu par Éric Bouchard et plus encore !

Ce numéro de Vie des Arts comporte un dossier thématique sur l’art contemporain et le document. L’archive en art est tantôt trace, tantôt matériau des œuvres, tantôt documentaire, tantôt artistique. Les pratiques contemporaines se jouent de ce brouillage et questionnent profondément l’histoire, la mémoire et la pérennisation des œuvres.

Le numéro printanier de la revue Vie des Arts propose une lecture actuelle des pratiques artistiques dans lesquelles resurgissent des interrogations et des figures millénaires : le vampire, le trickster, les origines de l’humanité, les limites du corps et de l’esprit, et les mécanismes visuels qui les sous-tendent tous.

La revue Esse s’intéresse dans ce dossier à la thématique du conflit. Quels discours émergents des pratiques artistiques traitent des conflits? Existe-t-il une posture narrative propre aux œuvres et expositions qui s’engagent dans le récit, la critique ou l’analyse des conflits? Tous des questions auxquelles ce numéro propose de réfléchir.

La revue Ciel variable fait paraitre un 124e numéro dirigé par Jacques Doyon ayant pour titre «Des images pour mieux voir». Les images de ce dossier troublent, retiennent l’attention, intensifient le regard. Ce qui est donné à voir est clair et précis, mais il y subsiste quelque chose qui incite à regarder plus attentivement. 

Le dossier du 125e numéro de Ciel variable porte sur les agglomérations, avec les travaux récents de Bertrand Carrière, Tabuchi/Monnier et Suzanne Lafont. Ils parcourent les villes et leurs régions périphériques pour saisir les particularités de l'habitat et des activités humaines dans un territoire donné et leurs liens au paysage et à la nature.

Vie des arts renoue cet automne avec sa rubrique thématique. Intitulée Incantations, le no. 276 sonde la part de réenchantement qui émane de nos rituels quotidiens et de nos pratiques de l'intériorité. Nouveauté : en plus de ses nombreux textes fouillés, la rubrique thématique accueille désormais un nouveau format de propositions épousant davantage le modèle de la recherche-création.

Ayant pour thème « Le deuil », le dossier du no 138 de la revue ESPACE art actuel explore diverses façons qu’ont les artistes de rendre compte de cette douleur. En quoi l’art actuel est-il en mesure de témoigner le fait que le deuil est une pratique qui imprègne les réalités sociales et émotionnelles de groupes d’individus ? L’art peut-il nous réapprendre à célébrer le deuil ?

 

C’est le grand retour en force des rubriques dessinées dans ce dix-neuvième numéro de la revue Planches, avec une nouveauté : «Rêves», d’Iris Boudreau. On y retrouvera également, «Relectures», par Eric Bouchard : retour sur Wendy, de Walter Scott; «Les dessous de la création», par Alexandre Fontaine Rousseau : entrevue avec Jeik Dion; Martin PM nous propose sa chronique environnementale, Cyril Doisneau poursuit sa série biographique sur Jehane Benoit et François Samson-Dunlop adapte à sa façon «Boucle d’or et les 3 ours», et plus encore! 

Le numéro 113 de la revue Esse porte sur l'analyse du plastique dans le champ de l'art soulève de nombreux dilemmes environnementaux. Loin de faire l'éloge du plastique, mais sans pour autant en nier l'utilité, ce dossier s'intéresse à nos manières de cohabiter avec la matière synthétique, tantôt pour en évaluer les conséquences et participer à la recherche de solutions de rechange, tantôt pour revendiquer une parenté avec ce qui a fait la gloire du matériau : sa plasticité, laquelle exprime à la fois le pouvoir de recevoir et de donner la forme.